chapitre 1: Le raid

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Pdv: Ragnar.

Après un long voyage périlleux dans les immensitées clairs je suis enfin arrivé avec mon armée sur les fameuses côtes irlandaise avec mes drakars.

J'admire avant d'amarer lentement sur la plage le paysage qui je le sais finira ensenglenter par les pillages et les combats.

Le plan est simple,piller l'église puis faird un carnage dans le village pour voller les maison et enlever les femmes et les enfants pour agrandir la population du village amoindri par les guerres et les hivers rudes.

Nous descendons enfin, je mène les opérations en première ligne.
Nous passons par les montagnes pour contourner le village puis nous attaquons en visant le centre du village l'église source de toutes les richesses de ce village.

L'attaque fut surprenante pour l'opposant,ils ne sont pas préparé.
Ils ont beau essayé de protéger leur village c'est un vrai bain de sang.

Nous combattons fièrement contre l'ennemis avec des coups de sabre et dans une mêlée général chaque femmes ou enfants qui tombent sur notre route sont acheminée vers un groupe sur l'aile droite chargée de s'occuper des captifs.

Toujours dans se combat intance je tombe sur une plus grande maison que les autres. Je rentre avec certains de mes frères et soeurs d'armes nous prenons tout ce que nous trouvons et tuons les hommes de la maison.

Mon regard se pose dans un coin de la maison j'apperçois une femme en tenue de soubrette qui tente de s'échapper par une porte donnant sur l'extèrieur.

Je la rattrape et mon regard plonge dans le siens. Un regard doux néanmoins troublé par la peur. Son visage poupin est décorer de mèches volante dépassant de ses épais cheveux roux tenus en chignon.

Je décide de la ramener avec les autres prisonnières . Comprenant son sort elle me supplie de la laisser proche de sa mère et d'épargner celle-ci.

Je lui dit: Ecoute femme ta mère finira esclave comme toi et votre sort dépendra de votre conduite et de votre docilité.

Elle finit par baissé la tête et quelques larmes tombèrent sur son visage.
Je remarqua qu'une fois arrivé près des autres prisonnières que son regard s'illumina à la vue d'une autre femme surement sa mère. Je l'enchaîna comme les autres ne pouvant m'empêcher de la trouvée très belle, elle n'avait pas un physique particulier mais beaucoup de charme.

Mes camarades et moi même avions rassemblés les divers trésors des pillages et fait rentrer les esclaves dans une cabines entassé les unes sur les autres avec les enfants.

Le voyages se passa dans la bonne humeur et nous fûment tous heureux des faibles dégats humains. Il n'ya eu aucun morts et juste quelques blessés.

Je discutais avec l'un de mes hommes qui me demanda si il pouvait avoir une esclave personnelle et notament la fameuse rousse au yeux amandes.

Je lui ai dit que j'y réfléchirai mais que pour l'instant elles se charcheront soit du nettoyage des bains et de s'occuper des femmes qui y iront soit de la cuisine ou encore d'aller nous approvisionné en eaux mais pour l'instant pas d'esclave sexuel.

Il se renfrogna mais accepta ma décision. Pour je ne sais quelle raison je ne voulais pas que la jeune rousse appartienne à quelqu'un. Je la désirai comme un homme désire une femme c'est vraie mais rien de plus.

Après trois jours sur les mers nous sommes enfin arriver sur mon territoire au Danemark au millieu de la journée.
Les esclaves sont réparties en quatres groupes les plus jeunes s'occuperont des bains, les plus robustes iront chercher l'eau  et les autres femmes aux cuisines enfin les jeunes garçons iront découpé le bois.

Une fois les groupes faits les femmes fûrent ramenées par groupes pour se faire couper les cheveux jusqu'au ras du cou signe de leur soumission. Et se font attribuer une tenue d'esclave.

Après cela la journée se passa fort bien et je passa la journée à visiter les malades et blessés chez la guériseuse. Puis fit un tour dans le village pour arriver aux cuisines. Afin de vérifier qu'aucune ne s'assume à gâcher le repas ou pire l'empoisonner avec de quelquonques plantes vénineuse.

Soudain je sentis une douce odeur s'émaner de l'une des marmittes je sortis de ma cachette une fois mettre assuré que tout était en ordre pour goûter et fus étonner de la qualité du goût et de la tendresse de la viande.

Ma surprise fut encore plus grand lorsque je reconnu la femme enlever par mes soins.
Elle a donc des dons culinaires.

Je suis un homme ayant pour défaut l'envie j'aime posséder les bonnes choses.

De ce fait une fois la nuit tombée et le repas et la fête bien entamer je déclara la jeune esclave au carré roux comme mon esclave personnel, elle se charchera exclusivement de mes repas et seulement des miens ainsi que du ménage de mes quartiers et sera cantonné à la recherche de l'eau. Ayant senti une pointe de possessivité à l'idée qu'un de mes hommes et le loisir de trop la voir.

Pour une raison inconnu les dieux sembles avoir ensorcelé mon coeur pour me la faire paraître si belle.

La belle du Viking.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant