Puis le noir. J'inspire longuement, attenuant mon stress.
La musique se fait entendre. Je me trouve toujours au milieu de la scène, et commence à bouger mes bras, lentement, les faisant passer de préparation à couronne...
Les projecteurs se braquent sur moi, de nouveau.
Que la danse commence !
J'ouvre les bras, balaye du regard le public. Les notes s'enchaînent, un rythme que suivent mes pieds, réalisant rapidement glissades, assemblés, ainsi que temps levés. Le haut de mon corps, lui, se balance lentement, gracieusement. Je flotte dans l'air, ai l'impression de voler. De respirer. Enfin, je vis.
