Chapitre 8- Dimanche

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Raiser Osore

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Raiser Osore

Je vois que tu as bien aimé répondre à ma question d'une certaine manière, tu es intelligente.

Merci d'avoir répondu de cette manière, phrases et poèmes ? Génial. Bien qu'ils soient sombres, tu as du talent.

Tu as laissé tomber cette feuille "par hasard" et là j'ai pu le voir.

J'ai aussi capté la menace dans le poème, même les rimes me menaçaient. Mais je n'aurais pas peur, je suis proche.

"Continues ainsi et dans l'obscurité tu sombreras"

Cette phrase est évidente, mais elle me plait. Ha, je ne sombrerais pas.

Qu'est ce que tu feras d'autre, Montagne de muscle ?

Je veux déjà voir tes sourcils froncés en terminant de lire ceci.
Tu sais ? J'ai l'habitude de t'appeler "Rai", je trouve que c'est plaisant de t'appeler comme ça.
Si ça te dérange, et bien il faut faire avec.
Ton talent est aussi de créer des jolies  comme celle-là.

Ho ! J'ai également vu que tu demandais "comment diables connait-il mon adresse", et bien, laisse-moi t'expliquer...

Je suis un génie, bien plus que toi, emo guitariste, haha je suis désolé j'aime bien le surnom.
Je suis sur à dix-milliards de pourcent que tu vas te mettre en colère.

N'aies pas peur.

Elle serra les dents en même temps qu'une veine se dessina sur sa tempe, un dimanche tranquille durant lequel elle était de nouveau sortie a cinq heur du matin pour laisser la lettre au pied de l'arbre

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Elle serra les dents en même temps qu'une veine se dessina sur sa tempe, un dimanche tranquille durant lequel elle était de nouveau sortie a cinq heur du matin pour laisser la lettre au pied de l'arbre.
Quelque chose lui disait que cet idiot serait là pour harceler.

"Rai..."

Le surnom ne lui déplut pas... Il lui plaisait, bien qu'elle ne voulait pas l'admettre.

Elle soupira et se laissa tomber dans son lit. Au bout d'un moment, elle entendit un bruit. Elle regarda en sa direction, ce n'était que cet oiseau qu'elle gardé caché pour éviter que des idiots - abuseur d'animaux - ne le blessent.

- Tu as faim, Daru ?- elle demanda gentiment.-

Le beau perroquet répondit avec le même bruit et vola jusqu'à sa tête. La dernière fois qu'elle avait fait sortir son ami, des enfants mal élevé au cœur mauvais avaient failli la blesser.

Lorsqu'elle avait vu cet adorable et petit oiseau, pour une raison inconnue, elle avait pensé à cette Lettre. A quoi ressemblerait le garçon ? Peu être brun à lunettes, un vrai idiot.

 A quoi ressemblerait le garçon ? Peu être brun à lunettes, un vrai idiot

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Lettres d'un Légume - Cartas de un Vegetal (traduction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant