Chapitre 9- Sourire

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Raiser Osore

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Raiser Osore

Un beau lundi, et quoi de mieux que le commencer en frappant un garçon ? Il est évident que j'ai pu voir cette scène.

Mais cette fois, il l'avait mérité, qui croit-il être pour te tirer le bras et rapprocher son visage du tien ? J'ai peu voir la terreur dans ton regard.

Un rapprochement de cette manière et le fait qu'il te touche ainsi, ça a du te faire très peur.

Pendant un moment, j'ai pensé y aller et l'éloigner pour laisser le Mastodonte t'aider à nouveau, mais je me suis retenu et je t'ai laissé lui donner la punition mérité.

En plus, tu m'aurais découvert. Et j'avais confiance en toi. Ce grand coup dans l'estomac puis le coup de poing au menton étaient géniaux.

Je ne pouvais pas faire de sourire plus fier face à cette scène.

Tu n'as pas changé et j'espère que tu te sens bien après cette attaque, ça a du être dur avec ta phobie.
Maintenant ce sera plus difficile de t'approcher, mais ne laisse pas la peur te gagner.

Tu es unique, Montagne de muscles.

N'aies pas peur.

Elle finit de lire la Lettre et laissa s'échapper un lourd soupir

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Elle finit de lire la Lettre et laissa s'échapper un lourd soupir. Aujourd'hui elle avait eut énormément peur et pendant un instant, elle avait cru que c'était celui de la Lettre qui l'avait fait.
Mais maintenant elle savait que ce n'était pas lui.

Cet étranger l'avait attraper si soudainement qu'elle n'a même pas osé allé à ses cours après ça. Elle était restée sur le toit jusque là.
Les professeur avaient compris et avaient punis le garçons, c'était une chance qu'elle avait la permission pour se défendre.

Ca l'émeut que le harceleur avait pensé à l'aider... Peu être était-il réellement une bonne personne.
Elle fit un sourire peu visible et partit pour rentrer chez elle.

Quand elle fut partit, de nouveau sortit le propriétaire de la lettre. Il avait l'air surpris, il avait vu son petit sourire.
Il mis ses mains dans ses poches et sourit comme d'habitude.

- Petit à petit, je me rapproche.

Le simple fait d'y pensé l'excitait beaucoup.*

* Encore une fois, aucune arrière pensée, bande de pervers

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* Encore une fois, aucune arrière pensée, bande de pervers.

Lettres d'un Légume - Cartas de un Vegetal (traduction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant