Représailles

Chapitre 2

Clayton

Je me lève de mon lit avec une migraine insupportable. Je jette un bref coup d'œil sur le lit.

Putain j'ai vraiment trop bu hier. Une rousse est allongée sur le lit de mon frère. J'aime pas les rousses.

A ma décharge mon frère ne vie plus ici depuis longtemps, et puis je n'aime pas que quelqu'un laisse son odeur sur mes draps.

Mon frère ne sais donc pas que je baise des inconnues dans son lit.

Je sors de sa chambre pour prévenir un membre du personnel qu'il faut faire partir une femme.

Je n'ai pas le temps de m'en charger et je sais très bien se qu'elle vas me dire, elles disent toutes les mêmes choses.

En plus un entraînement important m'attend, je descend les escaliers en marbre blanc.

Je ne comprend pas pourquoi mon père a choisis du marbre blanche sachant que les taches de sang son donc par conséquent plus visible.

Ma fois je ne suis pas décorateur, je descends les escalier menant à un sous sol. Un sous sol plutôt grand.

C'est une salle d'entraînement qui dois quand même contenir 400 hommes dont certain assez costaud.

Une fois rentré dans la salle tous le monde se tait et me regarde, certains se redresse d'autre batifole d'un pied à l'autre.

Je les analyses un par un, ils m'ont l'aire faible. Trop faible pour faire partie de la Cosa Nostra.

D'habitude ce n'est pas moi qui me charge des petits nouveau, j'ai même horreur de sa.

Mais mon petit frère avait une urgence à régler.

- Bon on vas commencer les sélections.

Je suis froid distant je pense qu'on sens dans ma voix une pointe d'agacement.

Un homme ridiculement petit lève la main et s'avance.

Putain mais on est pas en maternelle la.

- Ont nous avaient pas prévenu qu'il y avait des sélections.

Un rire sans saveur sort de ma bouche, ils se foutent de ma gueule c'est pas possible.

- C'est la Cosa Nostra ici pas un centre militaire ! Ont ne prends pas des mauviettes comme homme de mains !

Ma voix tonne dans la salle, j'en vois certain sursauter, pathétique.

- Ont veux des hommes qui n'ont pas peur de la mort qui n'ont rien à perdre. Des hommes prêt à mourir pour la Cosa Nostra. C' est claire ?!

Plus personne ne bouge figé et terroriser, certains pleurs ou se triture les mains.

- Partez ceux qui sont trop faible pour la Cosa Nostra !

Je leurs pointe une porte. J'attend que certains se manifeste, puis après plusieurs minutes des hommes bougent et partent en direction de la porte pointer quelques minutes plutôt.

Les hommes s'entassent devant la porte dans l'attente que j'ouvre la porte.

Quelle erreur.  Ils viennent de signer leurs arrêt de mort..

Il ne doit rester que deux cents  hommes le restent attendent de partir.

Je me dirige alors vers eux, et ouvre la porte.

- Entrez

Tous entre dans la une pièce plutôt grande sans lumière, je profite de leurs temps d'incompréhension pour fermer la porte à clé.

Puis je me retourne vers les hommes restant.

- Vous avez passez la première épreuve, prêt pour la deuxième ?

Il ne me donne aucune réponse de toute façon je n'en n'attendait pas vraiment.

On vas bien s'amuser..

Je les faits entrer dans une pièce, enfin devrais-je dire une salle de tire.

Ma pièce préféré, mon moment préféré...

J'appuie sur un bouton pour enlever le rideau métallique, laissant petit à petit apercevoir les hommes qui ont décidé de fuire ligoté à des chaises.

Leurs regards paniquer me rassasie.

Ceux qui ont décidé de rester eux sont tout aussi paniqué sauf deux trois sereins, je crois avoir repéré nos prochaines recrue.

- Prenez les flingues poser sur les tables, viser et tirer.

Ils retournent tous la tête vers moi surpris de ma demande.

- ont tires sur quoi ?

Sa voix tremblante me confirme qu'il n'est pas près à se qui vas suivre, il ferais mieux de partir. Je ne le regarde même pas il n'en vaut pas la peine.

Un roux plutôt fin s'avance vers un des flingues le regarde attentivement et se met à viser l'un des hommes.

Je le regarde attentivement puis enfin il tire, la balle se loge dans le cœur d'un homme relativement costaud.

Un fin sourire s'affiche sur mon visage.

Notre première recrue..

***

Six hommes, ils ne restent que six hommes sur les 400 du début. Je n'ai pas besoins de préciser se que sont devenus les autres.

- Bien vous allez vous reposez dans une semaine votre première missions débutera.

Durant la semaine qui arrive ils devront apprendre à tiré à se battre et à conduire des voitures sportives.

Mais par chance je n'aurait pas à m'occuper de sa, même si j'avoue que c'était assez drôle de les voire  paniquer à l'idée de tuer quelqu'un.

Mon frère m'en devra une belle j'ai renoncé à une belle journée pour cette sélection.