Chapitre 5

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Faith

Les deux fils se place dans les deux angles de la pièce. Lui avec les tatouages sur les bras ne me lâche pas du regard et je fait de même.

Ces yeux vert sont profond, mais je ne lâche pas.

J'ai la même tenu qu'hier soir, je n'ai pas eu le temps de me changer, je pense même qu'il reste un peu de sang sur mes jambes.

Le chef se lève de son fauteuil et me regarde fixement, ce que je fait aussi .

- Alors comme sa vous avez sauvée un de mes hommes ?

Je ne répond pas c'est une question rhétorique.
Il pose ses larges mains rider sur son bureau et souffle.

- Vous savez que vous ne pourrez plus jamais partir, du moins pas en vie.

Ma haine pour cette homme augmente de plus en plus dire que le dernier visage que mes parents ont vue était le sien.

Biensure je savais qu'une fois rentrer dans leurs demeure j'allais y rester.

Je ne lui répond pas et je vois bien que sa l'agace. Celui que j'avais croisé hier me regarde toujours avec un sourire en coin.

Comme si il se moquait de mon silence. Il prend sûrement sa pour une marque de peur.

- Vous voulez mourrir ?

Je sais qu'il attend une réponse de ma part, cette fois-ci je vais le lui donner.

- Je veux vivre.

Je veux vivre pour pouvoir vous tuez, je veux vivre pour voir votre sang couler, je veux vivre pour venger mes parents.

Son sourire m'indique que c'était la réponse qu'il attendait.

- Tu as deux options, sois tu deviens un membre du personnel et tu laves le sol ou...

Il laisse peser le silence, son fils aînée le regarde de travers surpris qu'il me laisse une autre perspective d'avenir.

- Ou tu peux aussi intégrer les rang de la Cosa Nostra.

Il fait comme je l'avais prédis, je fais semblant d'hésiter et j'analyse les réactions des frères.

Le plus jeune a cessé de sourire mais continue de me fixer.

L'ainée lui serre les points et fusil du regard son père. Je crois qu'il n'est pas ravie de la proposition de son paternel.

- Je veux faire partie de la Cosa Nostra.

Ces mots brule dans ma gorge, je me suis entraîner à les dires tant de fois. Pourtant sa sonne toujours aussi faux.

Le chefs et son jeune fils sourient tous les deux,comparer au tatoué qui me tue littéralement du regard.

- Bien alors demain tu commences, ton nom.

- Vanessa Lyope.

Dans son regard vacille quelques chose que je n'arrive pas à comprendre.

Un garde ouvre la porte noir se trouvant derrière moi et me prend par le bras.

Supportant pas se contact je l'enlève d'un coup sec, ce qui provoque un rire venant du plus jeune.

Ont me guide dans ma chambre, une chambre relativement grande enfaite elle fait la taille de mon appartement.

Une douche a l'italienne dans la salle de bain. Une salle de bain en marbre attention !

L'homme qui m'avait pris par le bras ferme ma porte.

Une fois mes affaires poser quelqu'un entre dans ma chambre d'un pas brusque. Je me retourne a peine que m'ont dos est déjà plaqué contre le mur et que m'ont coups est cerclé d'une main.

Mes yeux se lève vers mon assaillant, non sans surprise je vois ses yeux vert emplie de haine.

C'est réciproque

- Jamais une fille feras partie de la Cosa Nostra. Me crache t-il au visage.

Je suis outré de ses propos mais sa m'amuse car il me pense faible. Tu me sous estime.

- Penses-tu que les femmes sont faibles Clayton ?

Je ne sais pas si il a remarqué que j'avais cité son prénom sans qu'ont me l'ai dit. En tout cas il ne réagit pas.

Je glisse délicatement ma main autours de son poignet. Ses yeux se dilate, surpris de se contact doux.

J'appuie finalement sur un nerf de son poignet se qui le fait instantanément lâcher sa prise.

Il se recule et m'inspecte de la tête au pied glissant lentement sur mes cuisses nue, puis sur mon corset en dentelle noir.

- Tu es faible.

Sa voix rauque est forte, c'est comme si chaque fois qu'il parlait la foudre tapait en même temps.

Je me ressaisis et m'avance vers lui, je me met sur la pointe des pieds, sa hauteur me déstabilise. Mais je lui murmure à mon tours.

- Aussi faible que toi à cette instant.

Sans lui laisser le temps de réagir je sors mon flingue de mon entrejambe et la vise sur lui.

Oh putain j'aime ce sentiment de puissance.

Surpris il regarde comme si j'avais commis une terrible erreur, ce qui est peut-être bien le cas.

- Ils ont oublié de te fouiller. Ils devaient te prendre pour une pute.

Une pute, il vient de dire que je ressemblais à une pute ?! Je veux tirer putain je pourrais tirer mais mon plan tomberais a l'eau.

- Une pute qui a une arme pointer sur toi.

Puis sans que je le vois venir il envoie valser mon arme au sol et me fait une clé de bras. Je me retrouve dos à lui, mon dos contre son torse.

Sa main libre et tatoué enroule de nouveau ma gorge. Sa bouche se rapproche de mon oreille, ses effluves de parfum parvienne à mon nez.

- Je vais te faire souffrir Vanessa.

Mon faux prénom dans sa bouche m'électrise.

Il me lâche le bras d'un geste brusque puis s'en va en direction de la porte qui est resté ouverte.

Il vas me faire chier celui là.

Je me demande comment je vais faire pour demain je n'ai pas d'habit descend.

D'autant plus que je vais devoir leurs prouver que je suis une personne de confiance.

Qui plus est assez forte pour intégrer leurs rang.

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