5. Qui Est T'il ?.

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(En réécriture)
Coucouu mes stars sa fait longtemps.⚠️Juste faut que vous sachiez maintenant c'est plus Melda mais Sila. ⚠️

Pdv Sila
13h00* Au commissariat de police

Le commandant apparue avec un petit sourire au coin :

– Bon travail, nous félicita-t-il, en croisant les bras. Pour la villa, ne vous inquiétez pas, j'ai laissé une équipe d'enquêteurs professionnels s'en charger. Pour aujourd'hui vous êtes libres.

Je hochai la tête, résignée, et tournai les talons pour quitter son bureau. En traversant le commissariat.

Je ramassai mes affaires dans le vestiaire, rangeai mon arme et mon gilet pare-balles, puis quittai le bâtiment.

En sortant du commissariat, je remarquai un homme cagoulé qui se tenait à l'ombre d'un arbre, un peu plus loin sur le trottoir. Il semblait m'observer, ses yeux sombres suivant chacun de mes mouvements. Un frisson glacé me parcourut le dos.

L'homme ne bougeait pas, mais son air renfrogné et la tension visible dans son corps trahissaient une colère.

Était-il là pour moi ? Je n'en étais pas sûre, mais quelque chose dans son regard me mettait mal à l'aise.

Je ne sais pas s'il m'observe moi mais son regard était sombre.

Je ne faisais pas plus attention et je repris mon chemin jusqu'à ce qu'un homme surgisse devant moi, coupant brusquement ma route. Il était grand, avec des cheveux en bataille et un regard perçant.

Je le dévisageai, fronçant les sourcils.

– Vide ton sac, m'ordonna-t-il, sa voix rauque et autoritaire.

– J'ai rien dans mon sac.

Mon ton était ferme, mais à l'intérieur, je sentais une vague d'inquiétude monter.

L'homme ne sembla pas convaincu. Il fit un pas en avant, rétrécissant encore plus l'espace entre nous. Mon instinct de policière se déclencha immédiatement.

– Écoute, continuai-je en essayant de garder mon calme. Je n'ai rien qui t'appartienne. Laisse-moi passer.

Il sourit froidement, dévoilant des dents jaunies par la cigarette puis d'un geste brusque, l'homme m'attrapa le bras. Sa poigne était ferme, presque douloureuse, et son regard agressif.

– Qu'est-ce que tu fais ? criai-je en essayant de me défaire de son emprise.

Je tirai de toutes mes forces, mais il ne lâchait pas. La panique monta en moi, et je fermai les yeux un instant, espérant trouver la force de me libérer.

Quand je rouvris les yeux, je fus surprise de voir que l'homme avait desserré son étreinte. Je reculai précipitamment, mes yeux écarquillés. Devant moi se tenait l'homme cagoulé que j'avais remarqué plus tôt. Il tenait fermement le bras de l'agresseur, ses doigts enfoncés dans la chair de l'homme comme des serres d'acier.

L'homme cagoulé était imposant, et même sans voir son visage, je pouvais sentir son aura de menace.

— Ne la touche pas.

Sa voix exprimait la sécheresse et la froideur seulement.

– Casse-toi d'ici, lâcha t'il, cela sonnait comme un avertissement qu'une proposition. Sa poigne était ferme, ses muscles tendus sous le tissu de la cagoule

L'individus s'en allait alors que je lançais une oeillade curieuse au cagoulé.

– Merci, soufflais-je toujours en devisageant les seuls troue qui avait sur sa cagoule.

El Assassino💋Où les histoires vivent. Découvrez maintenant