Chapitre 18

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La douleur de perdre la personne que l'on aime par notre faute transcende les mots, aucun mot ne peut représenter la douleur que l'on ressent, cette douleur laisse derrière elle une mélancolie teintée de regrets. Chaque erreur commise devient une épine dans le jardin de l'amour, transformant les souvenirs doux en une amertume persistante. Les remords s'entrelacent avec le chagrin, créant une toile complexe de regrets et de "si seulement" qui hantent les pensées, rappelant sans cesse la fragilité des liens que nous avons négligés. C'est une leçon poignante sur la responsabilité et le coût parfois dévastateur de nos propres actions dans le théâtre délicat des relations humaines. On ne pense jamais réellement aux réels conséquences de nos actes.

( désolé pour le retard)

Yerim: bah logiquement

Mariama: * en le regardant très bizarrement* logiquement quoi? Et aussi comment vous vous connaissez ?

Il allait répondre quand Djamil lui coupe la parole

Djamil: je le connais de part Djibril, en gros Djibril est très proche de Yerim et un jour il est venue à la maison on s'est connu la ba

quand il a dit ça ca Yerim nous a tous regarder avec incompréhension dans sa tête il doit se dire mais c'est quoi ce bordel

je lui ai fait un signe de la tete pour lui faire comprendre qu'il doit se taire et je pense que c'est à ce moment là qu'il a compris

Mariama: oui mais pourquoi il parle de 8 ans et d'impossible tout ça ?

Yerim: * en parlant trees très vite* en faite il y a 8 ans, quand j'avais encore 13 ans, quand Dieyna venait de partir, il s'était disputé avec Abdoul et j'étais pas au courant qu'ils se sont réconciliés c'est pourquoi je dit que c'est impossible, je sais pas si tu as compris je parle vite

Mariama: je n'ai rien compris de ce que tu as dit mais bon

Yerim: mais toi aussi pourquoi tu poses autant de questions ? Tu connais Djamil d'où

Mariama: * en tenant la main de Djamil* bah on est ensemble

Quand elle lui a tenue la main j'ai eu d'un coup la haine mais sans même faire exprès qui a fait que j'ai repris mon téléphone directement

Yerim: QUOI?

Mohamed: * en rigolant* mais arrête de crier, pourquoi ça te choque autant

Yerim n'a pas pu s'empêcher de me regarder et quand il a vu comment je manipulais mon téléphone je pense qu'il sait rendu compte que Mariama n'en savait rien que cette situation me dépassait

Yerim: non rien c'est juste que je m'y attendais pas c'est tout

Mariama allait répondre quand on entend une musique, cette musique sonnait l'entrée des mariés, c'était all of me de john legend, cette chanson est vraiment magnifique

Ils se tenaient la main en marchant le long de l'allait, la robe de Mada était magnifique, c'était une robe Sirène avec un sorte de traîne dernière, tandis que Abdoul portait un costume tout blanc magnifique, nous nous sommes tous mit à les filmer, nous arrivions à lire l'émotion sur leur visage, c'était le plus beau jour de leur vie.

J'étais heureuse pour mon frère, honnêtement tellement Aboul était incorrigible je pensais même que Yerim allait se marier avant lui, il passait tout son temps en boîte de nuit ou avec des filles, pour lui se poser n'existait pas, lui parler de mariage c'était comme lui demander l'impossible, mais maintenant tout a changé, elle l'a changé.

Mais ne croyais pas que c'était facile pour les deux, au début Abdoul ne voulait que jouer, c'était une sorte de pari pour lui, mais ce jeux là, il l'a perdu.

Le destin de nos cœurs liésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant