CHAPITRE 26

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Moi: je parlais a quelqu'un

Lui: peux tu arrêter de tourner au tour du pot ?

Moi: ohhh doucement je parlais à ma soeur, je n'ai plus le droit?

Lui: et c'est ta soeur qui te fait rire comme ça ?

J'entre dans la discussion avec ma soeur et lui montre tout en disant

Moi: ce n'est pas de ma faute si elle est aléatoire tu sais ?

lui: humm 

moi: bref tu me montres ce que tu as choisis? 

lui: enfaite je ne savais pas ce que tu voulais exactement du coup j'ai pris tout ce que je trouvais un minimum beau 

et il commence à me montrer les habits un par un 

moi: pourquoi il y'a beaucoup de choses en double? 

lui: bah... c'était beau et je ne savais pas quelle couleur allait le mieux t'aller donc j'ai pris en deux couleurs a chaque fois 

moi: bon toi je ne sais pas de quel monde tu viens

lui: mais je ne savais pas ohhh

après ça on a fait le trie par ce que sinon on allait pas s'en sortir, puis je suis partie aux essayages, honnêtement il avait du gout, il a choisit que des belles pièces 

lui: bon assumes j'ai bien choisis 

moi: ce n'est pas mal

lui: pas mal? 

moi: oui pas mal 

lui: façon toi tu es une grosse rageuse 

moi: j'avoue 

Nous étions entrain de marcher vers la caisse pour payer quand je vois une robe magnifique on dirait qu'elle m'appelait, je me dirige immédiatement vers elle et la prend pour l'essayer 

Djamil: tu vas où? 

moi: je viens de voir une robe magnifique assied toi la je vais l'essayer 

lui: tu n'en as pas déjà assez? Dieyna ça va bientôt faire une heure qu'on est là j'ai faim

moi: je te jure je crois que j'ai un coup de foudre pour elle , bon je fais vite promis 

et là je me depeche d'aller prendre la robe et de l'essayer et je me rend compte que j'ai un vrai coup de coeur pour cette derniere, c'était une robe style caftan toute blanche, avec des manches assez longues, elle est magnifique 

je sors de la cabine et Djamil qui était sur son téléphone releve la tête et me lance un regard assez spécial, on aurait dit de la nostalgie et de la tristesse 

moi: euh, qu'est ce qu'il se passe, tu n'aimes pas? 

lui: si si c'est juste que 

moi: que quoi? 

lui: ma maman avait la exactement la même, elle te va tellement bien 

moi: ohh désolé je voulais pas 

lui: pourquoi tu t'excuses?  c'est la vie on y peut rien 

moi: c'est vrai الله y rahma

et la comment dire j'etais toute gêner, je déteste aborder ce sujet avec lui car même après toutes ses années c'est toujours aussi douloureux pour lui ça se voit à sa manière de parler, sa mère c'était tout son monde et là du jour au lendemain il est obligé de vivre sans elle c'était très dure pour lui 

après sa le livreur nous a dit qu'il était là donc nous nous sommes dirigé vers la caisse pour payer 

vendeuse: ca fera ....... s'il vous plait, vous payez par carte ou en espèce 

Le destin de nos cœurs liésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant