Il n'y a qu'un lampadaire qui jamais ne s'éteint,
Sans percer les ténèbres et vents assourdissants
Infiniment seul dans les néants incertains
Inconscient du tragique et du froid perçant
La violence d'une vitre qui se rabat d'un claquement,
Est comme la violence hyperbolique des regrets
Souhaitant de changer le passé éperdument,
Avec les rêves d'autrefois qu'il faut oublier
La nuit possède sa place inquestionnée,
L'immense privilégie d'aucun décalage,
Le bonheur infini de n'avoir à douter,
Impossible d'encombrer ses pages
L'obscurité ignore les souffrances existentielles,
Cela lui apporte ma jalousie personnelle
Au travers leur chaos les arbustes brutalisés,
Connaissent finalement la plus grande des paix,
Toujours faut-il attendre l'été.
Narcisse de T.
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Poésies du Futur
PoesíaDans un quotient de froid, d'humidité et de brumes, j'attends depuis très longtemps la lumière heureuse des souvenirs, celle présente dans les miens comme ceux des autres. Tel l'aube qui se lèveraient sous les chants des oiseaux, précédant tout reno...