Silencieuse

Chapitre 11

2 février

Et voilà le week-end est passé, hier j'ai eu beaucoup de crise de larmes, parce que je faisait que penser à mes parents.

Mais bref, là Enzo viens de me réveiller pour aller en cours. Donc on se prépare et on mange même si j'ai plus beaucoup d'appétit depuis que j'ai appris que mes parents sont mort. On partit de chez Enzo vers 7H25, il habite à moins de cinq minutes, à pied, de collège.

***

On viens de rentrer dans le collège et Enzo m'accompagne jusqu'à Léna qui me demande comment ça va, je lui répond en langue des signe. Je l'ai prévenu par messages hier.

***

Je suis en dernière heure de la matinée et j'ai vie de classe, la prof parle de projet qu'organise le collège, et des rendez-vous obligatoire parents prof. Elle disait que une famille avait pas répondu au message pour prendre rendez-vous.

-Maïvis, il faudrait que tu dise à tes parents de répondre au mail que je leur est envoyer pour la réunion parents prof.

Toute les larmes que je retenais depuis ce matin se déversèrent à n'en plus finir. Léna qui était à côté de moi me pris dans ses bras connaissant la situation et Enzo viens aussi se joindre au câlin pour me calmer. Une fois ma crise de larme passer Léna se retira du câlin et Enzo me garda dans ses bras pour me rassurer et dire que tout allais bien se passer.

-Heu du coup Maïvis tu leur dira?

Et bin! Je repartit dans une crise de larme, que Enzo calma rapidement, aillant  l'habitude depuis samedi de me voir fondre en larme.

-Maïvis, veut-tu bien me dire ce qui se passe?

-C'est trop long à expliquer, juste si vous pouviez arrêter de parler de mes parents!

-D'accord!

Personne comprenais ce qui venais de se passer à part Enzo, Léna et la prof, et c'était le plus important.

***

La fin du cours s'était plutôt bien passer. Là j'attendais avec Enzo et Léna pour aller manger. Le reste da ma classe avait fait que de demander ce que j'avais dit à la prof, mais je refusait catégoriquement de répondre.

Bref après manger on avait musique et à défaut de pouvoir parler je joué la mélodie au piano.

***

Aller c'est partit pour musique, un des seule cours que j'aime juste parce que je peux joué au piano. Pour aujourd'hui le prof m'avait demander de choisir une musique pour la joué à la classe, mais avec tout ce qui s'est passé ce week-end j'avais zappé. Alors je pris une musique aléatoire de toutes celle que je connais: je choisi une  des musique les plus tristes de mon répertoire que j'ai appris ce week-end.

Je commence à joué la musique et directe je suis embarqué par la musique, je ferme les yeux et joue la musique en laissant les sentiment prendre le dessus. Enzo qui ma regarder jouer ce week-end, sais se que représente cette musique. Ce week-end quand je l'ai appris j'ai aussi pleurer, il sait que cette musique va ma faire pleurer.

Les dernières notes retentissent, mes larmes sont bien présente dans mes yeux et sur mes joues. A la fin de la musique quand j'ai réouvert les yeux Enzo s'avançait vers moi pour me faire un câlin et calmer mes pleure.

-Maïvis, cette musique est très jolie! Tu la appris il y a combien de temps? Et pourquoi l'avoir appris?

-Je l'ai appris ce week-end et je l'ai appris à la suite d'un décès de personnes de ma famille proche. dit-je.

-Oh d'accord! Tu peux aller à ta place.

Enzo m'a demander si ça aller et je lui est répondu d'un hochement de tête affirmatif.

***

Le reste de la journée passa calmement. Quand Enzo et moi sommes arriver chez lui sa mère et son frère étaient déjà arrivé.

-Salut les enfants, alors cette journée?

-Il y a. . . eu mieux. dit-je.

-Comme les profs savent pas ils ont fait pas mal de boulettes et du coup elle a pleurer plusieurs fois.

-Oh d'accord! Allez venez prendre votre goûter! Maïvis, un lait chaut avec du miel?

-Oui. . . merci! dit-je d'une petite voix.

***

Avec Enzo on viens de monter pour se coucher. Une fois dans le lit Enzo me prend dans ses bras comme pour me protéger du monde extérieur. Et on s'endormit comme ça: dans les bras l'un de l'autre.