Chapitre 16

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PDV ENZO

Le cour de SVT c'est bien passer. Comme prévu à midi je sors du collège et me rend à l'hôpital.  Quand j'arrive dans la chambre de Maïvis je vais m'installer dans le fauteuil où j'étais hier et je prend sa main dans la mienne. Je lui parle pas, juste je suis là, je la regarde, elle est si belle même sur un lit d'hôpital. Je suis rester jusqu'à 13h, assis, là, à côté d'elle espérant qu'elle se réveille, mais ce n'ai pas arriver.

Quand je suis revenu au collège mes potes m'ont demander comment allait Maïvis, je leur est simplement dit que son état était toujours le même. Le reste de la journée passa assez rapidement, c'est quand à 16h30 la sonnerie retentit que je pu, enfin, rejoindre Maïvis à l'hôpital.

J'étais rester avec elle jusqu'à 18h30, heure à laquelle finissent les visites. J'étais par la suite rentrer chez moi, j'avais manger et je m'étais directement couché même si je me suis endormi que une bonne heure plus tard.

16 mars

Une semaine c'est écoulé depuis que Maïvis est dans le coma. Son état ne s'aggrave pas mais ne s'améliore pas pour autant. Aujourd'hui c'est un jour de plus où je dois me lever sans elle à mes côtés: je me demande comment je faisait avant.

***

Je viens d'arriver au collège et sa sonne déjà, je suis pas en avance ce matin. Ce matin on a français, pendant deux heures (😢). J'arrive dans la classe, je me met à ma place, j'ai vu le regard de mes potes: ils savent comment je suis depuis le semaine dernière, ils s'inquiète pour moi et pour Maïvis. Bref! La prof fait l'appel, comme depuis une semaine je répond que Maïvis est malade quand son prénom résonne à mes oreilles. Mais évidement Léna a sut se taire une semaine, mais là elle ouvre sa bouche.

-Alors, Maïvis, elle est vraiment malade ou elle fait semblant? C'est long une semaine pour une maladie!

-Je peux t'assuré quel est malade! dit-je avec colère.

-Ah oui! Et qu'est-ce qu'il me le prouve?

-Ce qui me le prouve? Tu veux savoir?

-Oui.

-Ce qu'il le prouve c'est qu'elle est en ce moment même dans une chambre d'hôpital reliée à des fils!

-Comment ça Maïvis est à l'hôpital? demanda la prof.

-Elle est dans le coma depuis mardi dernier, à cause d'un traumatisme crânien provoqué par sa chute au basket. Par conséquent c'est de la faute à Léna!

Tout le monde resta bouche bée, personne ne pensait que son état était si grave.

La prof ramena la calme dans la classe qui était en train de tous s'exclamer en même temps sur cette nouvelle. Une fois la classe calmé  la prof demanda si autre le fait qu'elle soit dans le coma, elle allait bien. Je répondis juste qu'elle aurait aucune séquelle.

Le cour passa, la récréation sonna. Notre classe était tous dehors, regrouper tous ensemble, silencieux. Je crois qu'ils ont des remords d'avoir suivie Léna et dit du mal de Maïvis toute la semaine. Petite rectification, toute la classe SAUF Léna. Que c'est étonnant!

Bref, ne nous attardons pas sur elle. la journée c'est ensuite poursuivie calmement et le soir comme d'habitude, depuis une semaine, je prends la direction de l'hôpital pour voir Maïvis.
























ECLIPSE 7 SEMAINE

 28 avril

Un mois et demi. C'est long, j'espère tout les jours que aujourd'hui elle se réveillera. Je passe le plus de temps possible à son chevet.  Aujourd'hui je suis en cours, dans une heure je pourrais voir Maïvis. je suis en musique, dire qu'avant c'était Maïvis qui jouait la mélodie au piano. 

Bref, passons, nous étions en train d'écouter une musique pour ensuite l'étudier, quand un téléphone sonna, MON téléphone sonna. Oui,, je sais, il devrait être éteins mais c'est pour si l'hôpital appelle. Du coup je regarde qui m'appelle, sous l'œil désapprobateur du prof, je vis que c'était l'hôpital alors je répond.

-Oui, allô, Enzo VILVIER à l'appareil!

-Bonjour M. VILVIER, je suis le médecin de Maïvis.

-Je vous écoute!

-Je vous informe qu'elle est réveiller et qu'il faudrait que vous veniez car elle fait que de vous réclamer. On lui a dit que vous alliez passer à midi mais elle a insister.

-Ne vous inquiéter pas j'arrive tout de suite!

Le médecin raccrocha ensuite, je ne pris même pas le temps d'informer mon prof et ma classe de la situation. Que déjà je parti en prévenant ma mère par message, tout en me dirigeant vers l'hôpital.

SilencieuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant