Chapitre 14

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9 mars

Voilà un mois que la mère de Enzo est ma tutrice légal. Aujourd'hui, comme tous les jours, je vais, en compagnie de Enzo, au collège. Depuis que je reparle au collège Léna est distante envers moi et Enzo. Je sais pas se qu'elle a, mais j'espère que c'est rien de grave.

Bref du coup là on viens d'arriver au collège et avant d'aller retrouver Léna, Enzo et moi on passe a notre casier. On discute un peu tout les deux avant de rejoindre Léna. Ah oui aussi, tout le monde sais pour moi et Enzo, en même temps c'était prévisible puisqu'on c'est afficher au parc tout les deux, devant notre classe. Enzo et moi venons de prendre la direction de là où es Léna.

-Salut! dit-on, Enzo et moi, d'une voix commune.

-Je veux pas vous voir! Bande de clochard!

-Mais qu'est ce qui te prend pourquoi tu nous parle comme ça, on t'a rien fait. dit-je perplexe.

- Ouais je sais, mais je me suis intéressé à toi juste parce que tu faisais pitié, et puis tu as Enzo LE populaire des troisièmes.

J'avoue sa fait mal de savoir qu'on sait intéresser à toi par pitié, mais bon il y a Enzo donc sa va.

-Très bien me parle plus jamais!

Et Enzo et moi nous partîmes en direction de notre salle de classe pour attendre le début des cours. Quand sa à sonner et que le prof est arriver, il a été étonné de nous voir déjà là sachant que tous les deux avec Léna on arrive toujours dans les derniers d'habitude. Bon du coup avec Enzo on rentre dans la classe, Enzo m'embrasse avant d'aller rejoindre sa place puisqu'on ai pas à côté pour les cours. Il m'a juste embrasser furtivement et pourtant j'ai eu des papillons dans le ventre.

***

Les cours de la matinée passaient calmement et rapidement. Le repas du midi a été plus ou moins agréable puisque Léna c'est apparemment senti obligé de m'insulter avec ses nouvelle amies. Bref après manger, avec Enzo nous sommes allés chercher nos sacs de sport puiqu'on avait sport.

***

Nous venons d'arriver à la salle de sport et nous sommes partis nous changés. Moi, toujours avec mon sweat et mon jogging qui couvrent toutes mes cicatrices. Seule Enzo les as toutes vus. Les fille on pas vu toutes celles qui était dans mon dos puisque j'avais une brassière qui couvrait une grande partie de mon dos. 

Bref on s'en fout, aujourd'hui on fait basket. Un sport que j'ai pratiquer avant mon enlèvement et que je pratique toujours juste je joue plus les matchs, à cause de la tenue: t-shirt manche courte et short. Alors avec mes cicatrices voilà, mais je compte reprendre bientôt les matchs. Le mois prochain normalement et si mon corps est en état de supporter autant de sport en très peu de temps. 

Bref je m'égare.

- Qui as fait ou fait du basket? demanda le prof.  

je fut la seule à lever la main.

-Tu en as fait ou tu en fait?

-J'en fait depuis mes 6 ans.

le prof expliqua se que nous allons faire aujourd'hui et le cour commença tranquillement. Je m'échauffa en compagnie de Enzo. Après l'échauffement le prof fit deux groupes de 15 personnes, par chance Enzo et moi nous sommes dans la même équipe. Léna était dans le camp adverse.

Le match commença et Enzo et moi étions sur le terrain, Léna aussi. On jouait tranquillement mon équipe était déjà à 10 points contre 2, une bonne parti des paniers mis par moi. Et d'un coup je reçoit un ballon en plein visage qui me fait tomber en arrière et j'entend juste Enzo crié mon prénom avant de sombrer.

PDV ENZO 

On joue tranquillement le match quand Léna lance le ballon dans la tête de Maïvis. Elle se prend le ballon dans la tête et avant que j'ai pu la rattraper sa tête cogne violement le sol. Je me précipite vers elle, elle est inconsciente. Je lui caresse la joue tout en lui demandant de se réveiller.

-Je t'en pris mon cœur réveille toi!

Le prof appelle les pompiers et moi j'ai les larmes aux yeux de voir Maïvis dans cette état.

-Pourquoi tu lui as envoyer dans la tête?

-Parce que depuis quelle reparle elle fait son intéressante et elle devient plus populaire que moi.

-Parce que tu crois que sa lui fait plaisir de reparler tu sais aussi bien que moi qu'elle aurait préférer ne pas reparler à cause de ce qu'on lui a annoncé il y a un mois! Et tu le sait parfaitement. dit-je en m'énervant et en pleurant, ayant peur pour Maïvis.

***

Avec Léna on c'était gueuler dessus encore quelques minutes avant que le prof ne nous stop et que j'observais Maïvis ne voulant plus la lâcher. Même mes potes que j'avais délaisser ces derniers temps sont venu vers moi pour me soutenir.

Après vingt minutes les pompiers arrivèrent et il durent me demander au moins 4 fois que je m'éloigne de Maïvis pour qu'ils puissent la soigné. Je lui embrassais le front et les laisser faire leur travail. Mes potes ma prirent dans leur bras: ils savent comment je suis attaché à Maïvis.


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suite au prochain chapitre!   😈😈😈     

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