Dans l'ombre de la nuit, seule je chemine,
Une âme égarée dans les brumes incertaines.
Pas un souffle, pas un cri, pas une étreinte,
Juste le silence, glacial, qui m'atteint.Les étoiles brillent dans le ciel infini,
Témoins muets de ma douleur infinie.
Je vagabonde, errant dans l'isolement,
Cherchant une lueur dans l'obscurément.Les heures s'étirent, les jours se perdent,
Et la solitude s'enroule autour de mon être.
Dans cet océan de silence et de peine,
Je me noie, sans espoir, sans reine.Pourtant, au cœur de cette nuit noire,
Brille un espoir, une petite flamme miroir.
Car même dans cette mer de tourments,
Je garde l'espoir, inflexible et vivant.Je marche, malgré la solitude pesante,
Dans l'espoir de trouver une présence accueillante.
Car je sais qu'un jour, au loin dans l'horizon,
La solitude s'éteindra, pour laisser place à l'union.