L'amante fatale

Camille Lyonel était chez elle, habillée de sa robe de chambre et que son tablier, ses beaux cheveux blonds étaient attachées en un chignon et ses yeux bleu regardait les carottes, elle préparait le dîner, seule dans cette grande cuisine, Elle préparait une blanquette de veau, ce soir Charles aurait une promotion, si il ne l’a pas déjà, alors , il fallait bien fêter ça. Ha Charles, son mari, sa vie, son amour. Il était si beau avec ses cheveux noir et ses beaux yeux émeraude. Elle mourrait pour lui, elle l’aimait tellement. 
- Je suis rentré, désolé ça à pris plus longtemps que prévu. Dit Charles en rentrant et sifflotant.

-Chéri ! Alors ta promotion ? s'exclama Camille en allant rejoindre son mari.

- Je l’ai eu ! Tout ça grâce à Emma, tu sais, la secrétaire du patron, elle a beaucoup parlé de moi à Monsieur De Beauville. 

Monsieur De Beauville était le chef d'entreprise, c’était un homme dodu qui avait la joie de vivre dans le sang. Il avait quelque cheveux blanc qui couronner sa tête et il avait les yeux noisettes.

- Oui, elle est venu une fois pour prendre de tes nouvelles, elle est vraiment très jolie.

Emma Simone était un jeune femme qu’une extrème bautée, elle avait de magnifique cheveux noir qui la tomber jusq'à la taille. La première fois ou Camille l'avait vu, elle les avait attachés en demi-queue de cheval. Elle avait aussi de magnifique yeux d'un noir profond. Elle portait toujours sur rouge à lèvre d'un rouge sang.

- Heu oui, je n'ai jamais prêter attention à ça. Dit Charles en se mordant les lèvres, soudainement stressé. 

- Je vais finir de préparer à manger !

Camille retourna dans la cuisine, plus si grande, maintenant qu’il n’était pas loin. Charles soupira, et pensa que ça femme devait être aveugle pour ne pas voir le problème.

Un jour, alors qu' elle avait préparé le déjeuner de son mari et qu'il l’avait encore oublié, elle alla à son travail, à 10 minutes de marche.

Arrivé la-bas, elle chercha son bureau mais la, elle vit son mari, son amour, sa vie, embrasser une autre femme, Emma. 

Qu’avait-elle fait de mal, pourquoi l’avait-il embrassé, n’était-elle pas assez bien pour lui, pour son amour, allait-elle le perdre, non, non, non, pas son mari. pensa Camille.

Elle était paralysée, que devait-elle faire ? elle n’en savait rien.

Charles, toujours avec son amante. Fini par se tourner vers Camille, quand il l'aperçut, il avait l’air choqué, stressé, ses yeux étaient écarquillés. 

Elle était figée, perdue dans ses pensées de solitude, de peur. 

Lui ne savait pas quoi faire, ce serait le déshonneur s’il avait trompée sa femme ou si elle le quittait. Qu’allait-il faire, il venait de devenir chef de projet. 

Camille se demanda comment faire, elle ne voulait en aucun cas le déranger ou le convrir de honte. Mais c’était son mari, qu’allait-elle faire ?

Ses jambes bougeaient toutes seules, son visage toujours figé sur l’étonnement et la peur, se mit à marmonner quelque chose d’inaudible en arrivant à sa hauteur, puis repartit, toujours en marchant. Tout le monde les regardait, il y avait un silence pesant qui régnait dans la pièce. 

Camille rentra chez elle, s'allongea sur le lit, fixa le plafond et se perdit dans ses pensées et essaya de trouver une solution à son problème.

Elle entendit son mari rentrer, elle ne bougea pas. Elle l'entendit l'appeler, elle ne bougea pas. Elle l’entendit la chercher, elle ne bougea toujours pas. Quand il la vit enfin, il se figea, il se demanda si elle n’était pas morte. Mais Camille finit par parler.