OS-Cassandre et Roche !

Beau mec !

Depuis ce matin, Pascal trouvé Florence très bizarre, comme si elle l'évitait, comme si elle lui reprocher quelque chose. Puis arriver à un moment de la journée il se décida de lui parler.

Alors qu'elle s'apprêtait à aller à son bureau, Pascal l'interpella.

-Ca va commissaire il y a un problème ?

-Ha oui il y a un problème capitaine, il y a un problème blond qui a 20 ans avec des p'tits seins et puis un blouson bleu ! Ca vous dit quelque chose ?

Pascal resta bouche-bée devant la commissaire.

-Heuuu

-Alors si vous voulez vraiment qu'on reste dans le professionnel d'emmerder-vous pour que vos histoires de cul ne viennent pas déborder sur mon territoire.

-De.. Mais il ne put finir ça phrase qu'aussitôt il fut couper par Cassandre qui était plus qu'agacer par cette situation.

-C'est clair !

-De..de quelle histoire de cul vous parlez là ? Pascal était très perplexe, il ne comprenait rien.

-Ho de quelle histoire de cul vous parlez là ? Répéta Florence. Elle s'est pointée chez moi à 20 heures hier soir elle est bien gonflée, alors je ne sais pas ce que vous lui avez fait, et puis je m'en tape hein en vrai, mais alors elle me flic et elle vous flic bah voilà. Dit-elle en entrant dans son bureau.

Pascal qui la suivait était totalement largué.

-Attendez... De quoi parlez-vous là ?

-Une grande blonde, ça ne vous dit rien !?

-Heu...non.

-Non vraiment, sérieusement, ça ne vous dit rien ?

-Bah non !

-Et... même pas...une toute petite ?

-Non

-Non? Demanda encore une fois Florence pour être sûr.

-Non une blonde sa ne me dit rien non.

-Bon...bah je me suis encore couverte de ridicule qu'est-ce que vous voulez.

-Non mais par contre qui est une fille qui débarque chez vous en pleine nuit ça sa m'inquiète par contre.

-Oui et bah moi ça m'inquiète aussi et ma préférence serrait pour un beau mec. Elle se retourna à s'assit à son bureau.

-heu... Pascal était très mal à l'aise et énervé contre cette mystérieuse blonde, il devait en savoir plus mais avant il avait un autre plan en tête.

Mise à part cette discussion, la journée s'était passée normalement. Il était 19h30 quand la commissaire partie du commissariat, ce qui laissait 30 min à Pascal pour exécuter son plan pour faire comprendre à Florence qu'il voulait aller plus loin dans leur histoire. Alors oui il lui avait dit qu'il en avait marre des draguouillage mais en réalité il voulait juste lui faire comme en déclique, qui n'avait clairement pas marché car elle avait remis encore plus de barrière entre eux.

20h pile Florence était seule chez elle, Jules étant partis chez des amis. Elle s'était servi un verre de vin et regarder la télé quand elle entendait sa sonnette retenir, elle regardait l'heure et se leva en trombe pensant que c'était encore la conquête de son capitaine. Elle ouvrit et s'apprêta à crier mais fut choquée de voir, Pascal la debout devant elle des fleure à la main.

-Pascal? Mais qu'est-ce que vous faites là ? Et c'est quoi ces fleurs ?

-Bonsoir Florence. C'est pour me faire pardonner.

- Pardonner de quoi ?

-Je peux entrer ?

-Oui oui bien sûr excusez-moi. Elle s'effaça pour le laisser entrer.

Au passage il lui offrit les jolies roses rouges avec un grand sourire.

-Merci. murmura-t-elle.

-Je vous sers un verre ?

-Avec plaisir.

Elle lui servi un verre et lui fit signe d'aller s'installer sur le canapé.

-Bon que me vaut cette visite nocturne ?

-Bah vous n'aviez pas dit que vous préfériez un beau mec à mon soi-disant "plan cul" ?

-Si mais...

-Mais je ne suis pas assez beau mec pour vous c'est ça ? Dit-il faussement triste.

-Si au contraire mais...Je croyais qu'on s'en tenait au professionnel capitaine?

-Mmm...Après réflexion non j'ai plus envie et je pense que vous aussi, n'est ce pas ?

-Pas faux. Florence se rapprocha de plus en plus jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres de lui.

-Pascal, vous êtes sûr ?

-J'ai toujours été sûr moi Florence, je vous attendais, c'est tout.

-Excuse-moi...

-Si tu m'avoues enfin que tu m'aimes tout sera pardonné.

Elle ria et s'avança lentement vers lui et l'embrassa avec tous l'amour qu'elle lui porter.

-Mon amour...Suis-je pardonné ?

-Je ne t'en ai jamais voulu...Mon amour.

-Ha bon, alors nous pouvons redevenir de simples collègues capitaine.

-Alors là certainement pas madame la commissaire.

-Et pourquoi capitaine.

-Parce que désormais  tu es à moi et rien qu'à moi.

-Ha ouai? Puis elle l'embrassa de nouveau.

-Pascal?

-Oui ?

-Pour tout à l'heure au bureau...Je suis désolé je n'aurais pas dû réagir comme ça, c'est dégueulasse, on n'était même pas ensemble.

-Ce n'est pas grave d'être jalouse ma chérie ne t'inquiète pas.

-Pff, n'importe quoi moi jalouse, mais alors là pas du tout. Dit-elle faussement vexée.

-Ne t'inquiète pas, au contraire j'adore quand tu es jalouse.

-Et pourquoi cela ?

-Ca prouve à quel point je compte pour toi.

-Oui tu comptes beaucoup pour moi.

-Bon je vais rentrer chez moi on se voit demain mon amour ?

-Bah oui mais non, tu vas venir te coucher avec moi du coup. Ordonna Florence.

-tu es sûr ?

-Ha cent pour cent.

Elle l'attira dans la chambre, ils se mirent en pyjama et allèrent se coucher blottis l'un contre l'autre heureux et amoureux.