La naissance d'une étoile

Chapitre 3 : Début de vie mouvementée

Cette femme ne s'en occupais pas, c'était au bonnes de le faire. Et généralement c'était a Maydelis que revenait cette tache, pas par gentillesse que ce sois son enfant non évidemment ça serai trop charitable...
Simplement car les autres bonnes ne supportait pas vraiment plus les enfants que les patrons. Ça ne la dérangeait pas le moins du monde, elle profitait de chaque instant près de son fils.

C'est dans ce cadre que pendant deux ans, cette famille particulière viva. Sous les coup de colère de l'homme, le mépris d'evengeline et la souffrance mentale et physique que commençais a vivre l'aangel, la terre ne portant plus le Maana qui lui permettait de vivre.

Un matin de décembre comme les autres, tout allais changer sans que personne ne puisse le prévoir. L'enfant roi, le protégé disparu était Revenu. Sauvé de ses geôlier le petit garçon d'à peine 4 ans, se nommait Ja-Jung. La maîtresse de maison, qui haïssais déjà le petit Bae, avec son enfant revenue cela devenait pire que tout.

Le petit être innocent de deux ans se voyais insulter a chaque geste, traiter pire que les bonnes, réprimer et affamé pour relevé Ja-Jung sur le piédestal qui lui revenais de droit.

Maydelis fesais sont possible pour que son enfant puisque allez bien, chaque jour en cachette elle lui rapportait du pain dans sa chambre et s'installait sur son lit pour lui chanter sa chanson préféré, la chanson des étoiles. Celle qui a l'heure actuelle est toujours là chanson qui apaise Bae et ses enfants.

Le temps passait, ce manège ne se calmais pas mais Maydelis, observatrice, remarquas bien vite que même pour le petit jaja cette situation était insupportable. Il avais beau faire le fier, lui aussi avais été briser par la torture qui l'a suivis pendant deux ans.

C'est ainsi que au fur et à mesure elle les prenais tout les deux pour les endormir avec les merveilleuse étoiles filantes, maintenant gravé sur le corps de notre petit roi.

Ils apprenait a vivre, tous comme il pouvais, tant qu'ils était tout les trois ça irais. C'est ce qu'il pensais mais l'état de sa mère se dégradait.