Je te détestes

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Arrivée devant la porte, je m'attend à une dispute où n'importe quoi dans ce genre là. En ouvrant la porte, je retrouve Hunter, couché sur le sol, un pieu dans le dos, je l'entend souffler de douleur.

-HUNTER!?

Je me précipite vers lui pour le lui retirer et prit une poche près de moi afin de lui permettre de guérir.

-En une seule journée, je trouve drôle que tous deux nous soyons sauvés mutuellement!

J'émis un rire nerveux

-Qui t'a fait ça?

Le regard plongé dans le mien, il ne me donne aucune réponse. Je le vois silencieux et dangereusement près de moi. Nos yeux ne déconnecte pas. Quand soudain, la porte s'ouvrît. Je me retrouve sur le dos à cause de l'élan qui m'a permis de m'éloigner de Hunter, qui lui est déjà rendu à la cuisine en se demandant ridiculement où sont les verres.

-Vous faisiez quoi? Me demanda Enzo

-Ton frère avait un pieu dans le dos et j'attends sérieusement une explication.

-Vous n'aviez qu'à ne pas me mentir! Dit-il en se tenant au mur de manière étrange.

-T'as bu?? Lui demandai-je perplexe

-Tu m'as mentie. On ai quitte.

-Non on l'ai pas! Pourquoi c'est si difficile pour toi de comprendre que c'est ton frère qui m'a sauvé.

-C'est simple Kaly! Où étais-tu ce soir?

-Chez Jason!

-Alors il faut croire que ça t'as pas autant marqué que je l'aurais cru et tout simplement Hunter ne peux pas éprouver de la gentillesse! C'est impossible!

-Ouch mon frère ça fait mal! Chuchota Hunter dans le coin de la pièce.

-Tais-toi ou je t'en remet une dans le dos!

-QUOI! C'est toi qui l'a poignardé!? Criai-je

-Bon je vais vous laisser gérer ça! Dit Hunt en prenant son sac et en sortant de la maison.

Je n'avais plus rien à dire. Je ne reconnaissais plus cette personne devant moi. Je levais les yeux au ciel en prenant le chemin vers la chambre.

-Tu te casses? Qu'es tu fous? Me demanda t-il

Je prit sévèrement un vase qui était placer à ma gauche et lui balança directement dans la figure

-JE NE SUIS PAS UNE MENTEUSE! Criai-je de toute mes forces

Enzo s'avança et me plaqua sur le mur, je le tourna afin de le plaquer sur le mur. Je croyais le tenir avant qu'il recommence de nouveau son geste. Nos visages à proximité sentaient à des kilomètres la rage qui se faufilait entre nous.

-Lâche-moi je te déteste! Lui criai-je encore une fois

Il ne cédait pas. Ses mains me tenaient fermement et je sentais qu'il n'était pas prêt à me lâcher. Soudain, il écrasa ses lèvres sur les miennes, laissant nos souffles se mélanger. En si peu de temps, nous prenions cette rage en la défoulant par ce désir qui circule et qui reste là, entre nous. Ses mains, posées sur mes bras, descendirent fermement vers mes fesses qu'il souleva. J'enroula mes jambes autour de sa taille tout en continuant de l'embrasser. Très rapidement, j'atterris sur le lit. De ses mains, Enzo déchira mon chandail.

-Hé! J'adorais ce t-shirt! Dis-je entres baisers

Enzo se mit à rire en haussant les épaules. D'un geste brusque je fis de même avec son chandail.

-Hé, mais ça m'a coûté cher ce chandail!

D'un rire moqueur, j'émitais Enzo en haussant les épaules à mon tour. Il me sourit en déboutonnant mon pantalon et en le retirant le plus vite qu'il puisse. D'un geste accéléré il retira mon sous-vêtements avant d'y introduire sa langue qui effleura délicatement mon point sensible. Les mains dans ses cheveux je me tordais de plaisirs. Il le faisait à la perfection. La chaleur qui parcourait mes cuisses jusqu'à ma tête m'en faisait perdre la raison. Après quelques minutes, j'émis un son de plaisir. Mes jambes tremblaient face à lui qui continuaient malgré ma jouissance. Enfin, il releva la tête afin de poser ses lèvres sur les miennes. Durant ce baiser, j'en profite pour glisser ma main vers son pantalon et de le déboutonner aussi vite qu'il avait pu le faire, je fais de même avec son caleçon avant d'attraper son membre entre mes mains. Aussitôt il se crispa

-C'est froid! Dit-il

Aussitôt je me mit à rire. Après ces mots, Enzo entra en moi, ma tête et mes yeux prennent deux directions différentes. Je l'entendais, en m'embrassant, sa respiration était saccadée suivi, par moment, de son de plaisirs quand soudain, la porte s'ouvrît.

Entre la Louve et L'amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant