Os Harry Potter spécial ou pas

La lettre pour lui dire ce qu'il a ressenti !

Tu étais blond,
Tu étais beau,
Tu avais de l'ambition
Tu avais mes idéaux

Je me souviens aujourd'hui de comment tout cela a commencé ; Tu étais à Poudlard pour le tournoi des trois sorciers et la première fois que je t'ai vu tu te faisais harceler, moi qui ne vois rien qui n'essaie même pas de regarder, moi j'avais trouvé ma moitié.Ton intelligence n'avait d'égal que ta beauté et ma naïveté ? Non, car nous nous aimions, sans encore le savoir bien sûr ! Ou toi peut-être l'avait tu compris, que mon coeur ne battait que lorsque je savais que dans le tiens tel l'échos il se répétait ?

Toujours est-il que j'ai prit le temps pour toi et que je n'ai pas été déçu : Tu m'a offert une seconde famille, tu m'as donné un frère, tu m'as fait connaitre ton coeur, ton amour et une telle fraternité en vers ma petite soeur ! Mais ça fait bien longtemps que tu la reprise cette chance que tu m'avais donnée, tu m'as partagé ta vision du monde et fait croire qu'on pouvait le changer ! Tu voulais le faire dans la violence, car c'est ce qu'avais été ton enfance, je voulais le faire dans la loyauté comme tout bon Gryffondor j'aurais voulu pouvoir t'aider.

Nous allions à la Bibliothèque ensemble, te rappelles tu ? Nous nous y endormions ! Tu étais plus vieux que moi et tu l'es toujours aujourd'hui, je ne me rappelle rien si ce n'est du sourire que tu fit quand ton nom sorti de la coupe. Je ne m'intéressait pas à toi à ce moment là, je me fichais royalement de ta personnalité, de ton identité !

Notre rencontre, celle qui changea tout arriva peu après la première tâche et comme je l'ai déjà dit je t'ai sauvé de tout ces..........

Je n'arrive même pas à les qualifier !

Tu m'avais dit qu'il te jetais des doloris pour te punir, car d'après eus tu avais triché; utiliser des sortilèges de ton invention était rusé, moi même je ne suis jamais parvenu à en créer. Mais tout se passa lors de la seconde épreuve dans laquelle mon directeur me fit appeler et je rejoins les autres sous l'eau pour être ton prisonnier. Tout c'est passé très vite, je ne t'ai même pas vu arriver! Bon sang, mon asthmes c'est réveillé et je t'ai entendu crié « Qu'on l'emmène à l'infirmerie tout de suite », puis je t'ai vu tremblé tu avais peur ? Froids ? Puis tu m'as embrassé ! Sais- tu que j'attendais ça depuis le début ? Oui tu le savais, sale crétin que tu es ! Alors moi aussi je t'ai embrassé, comme un homme embrasse une femme comme une femme embrasse une femme ou plutôt un homme embrasse un homme. Tu m'avais invité au bal de noël, j'hallucinais « J'allais vraiment au bal de noël avec un champion, non, mon champion ! Nous avions beaucoup bu et tu m'as emmené dans ton lit. J'étai vierge avant cette nuit là, le savait tu ?

Les semaines ce sont écoulées, lapidées en un rien de temps, tu me consolait quand mon frère me reprochait de ne pas passer plus de temps avec ma soeur, tu parlais toujours et encore de refaire le monde et j'aimais la lueur de tes yeux bleus quand tu parlait de cela. La dernière tâche est arrivée et évidemment tu as gagné. Les vacances d'été arrivaient, nous rattrapait, lentement mais irrémédiablement ; J'ai fait tout ce que j'ai pu pour que nous ne soyons pas séparés et je t'ai encore embrassé, tu m'as encore consolé et séché les larmes sur mes joues, me promettant de m'écrire tout les jours. Pourtant je te le dis : Je pensais qu'avec le temps on arrêterait, que l'amour partirait.

On est rentré, chacun de notre côté et j'ai pleuré ton absence jusqu'au dimanche. Je ne pouvais que leur compter tes qualités et mère était si heureuse que tu rentres dans notre famille, si tu avais vu les yeux de la petite, paralysée par ce que je disais émerveillée qu'on veuille l'aider. Tu as écris, j'ai répondu et le train de dernière année est parti, je me suis déplacé jusque dans mon compartiment habituel et la les larmes me sont montées, tu étais là et tu as dit « Bonjour mon Phoenix ! ». Je t'ai sauté dessus et je t'ai dévoré la bouche, tu m'as repoussé « C'est comme ça qu'on dit bonjour en Angleterre ? » as tu demandé. Tu as expliqué avoir redoublé et décidé de changer d'école, nous avons beaucoup rit cette année ; entre les coups dans ton lit ou dans le miens ou encore la nuit ou se pacte a unifier nos liens.

On nous a averti à Noël qu'elle avait eus une crise et tués notre mère, nous sommes rentrés, mon frère étais furibond contre elle, mais tu la défendue et tu la protégée et elle t'aimais tant, j'étais heureux.

Tout ça c'était avant, mais j'ai une dernière chose à te dire je t'aimais, je t'aime et t'aimerais toujours ! J'aurais voulu parler avec toi, alors je te le dis par cette lettre, il n'y aura jamais personne d'autre que toi et moi !

Ton phœnix soumis jusqu'à la fin des temps !