Mikey X Akuma

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- Salut m'an. 

Il entre sans rien ajouter et me fais signe de le suivre. La mère de Baji aller ajouter quelque chose mais elle m'aperçue et se radoucit instantanément. Elle est assez surprise mais me sourie quand même a une moi-même assez gêner.

- Oh, enchanté. Je suis la mère de Keisuke. 

Je m'incline en signe de respect tout en me présentant.

- Enchanté également, je m'appelle Akuma, Akuma Dimoniu. 

Elle rie un peux avant de me relever. 

- Je suis ravie de faire ta connaissance Akuma. Mais ne reste pas dehors, entre ! Et je te pris d'excuser les mauvaise manières de mon fils, il est dans sa phase adoleschiant. 

Je me mis a légèrement rire en me rendant compte que mon père utilise souvent la même expression, quand le concerner déboula dans l'entré, un peut contrarier. 

- Eh ! Je t'entend tu sais ?! Je te ferais remarquer que je lui ai dit d'entrer et que c'est toi qui la bloque dans l'entrer. 

Sa mère se tourne vers lui. 

- Je sais que tu m'entend, et c'est justement pour ça que je le dit. Allez viens. 

Lance t-elle a mon attention, je la suis et hausse les épaule quand je passe devant Baji, en espérant qu'il comprenne que je suis totalement perdue. Il hausse lui aussi les épaule pour me dire de ne pas m'en faire... je suppose ? J'enlève au préalable mes baskets et, sous l'injonction de Madame Baji, je m'assois sur leur canapé gris. Baji s'assoie dans un soupire a coté de moi  pendant que madame Baji prépare quelque chose dans la cuisine. En marmonnant une phrase que je ne comprit absolument pas. Depuis la cuisine elle lança a l'intention de son fils 

- Tu aurais quand même pu me dire que tu amènerais ta copine Keisuke ! 

HEIN ??!

Un bref blanc s'installe et est chassé par un cris de Baji.

- Ce n'est pas ma copine !

Sa mère arrive une cuillère en bois a la main et un tablier autour de la taille.

- Alors c'est quoi ?

... je ne sais pas quoi dire appart que la gêne viens d'envahir mon esprit, que mon corp viens de se figer et qu'une légère grimace viens de se former au niveau de ma bouche...

- Une amie qui as perdu ses clefs et qui n'a pas d'endroit ou dormir.

La mère de Baji baisse alors sa cuillère en bois.

- Tu aurais aussi pu me prévenir qu'elle dormirait ici. Tu es la bienvenue Akuma.

Je baisse la tête, un peu gêné et bredouille un merci pendant que madame Baji retourne a ses fourneaux. Le blanc revient mais bienheureusement Baji le renvoie d'où il vient en se levant ainsi qu'en tendant sa main pour que je me lève a mon tour. Main que je saisie immédiatement. Il tourne légèrement sa tête dans ma direction. 

- Viens, on vas dans ma chambre... 

Des pas se firent entendre et sa mère apparue, sa cuillère en bois toujours a la main. 

- J'espère que ta chambre est rangée ! 

Baji se retourne, un poil énervé et lâche ma main. 

- Évidement qu'elle est rangé. 

Il se retourne et vas vers une porte au fond du couloir, qui est très certainement sa chambre. Pendant que je le suit sa mère marmonne

- il manquerais plus que tu me fasse honte avec un porcherie pour chambre.

Je pouffe avant d'entrer et remarque de suite le regard sombre que me lance le propriétaire de la chambre. Chambre très bien rangée au passage. Je lui sourie en retour avant de me jeter sur son lit. Il soupire et se dirige vers son armoire et en sors des draps propre qu'il me balance a la figure. Je m'empêtre dans la housse de couette, j'essaye de sortir mais n'y arrive bien évidement pas. Bah oui sinon ce ne serait pas drôle. Je continue de gigotter dans tout les sens et finit par rouler par terre, sous les rire de Baji. Je cris de frustration et abandonne. Je n'ai jamais était douer pour mettre les draps sur le matelas. Sois le draps de dessous ne voulait pas tenir en place, sois en mettant la housse de couette je restais coincé a l'intérieur et il fallait souvent que mon père vienne me sortir du tissue qui ne voulait pas me laissait sortir. J'entend le lanceur de draps farfouiller dans son armoire.

- Baji ? 

- Hmm? 

- Tu peux venir m'aider s'il te plait ? 

- ... ... Non. 

- Aller quoi ! Tu ne vas pas me laisser comme ça ? Si ? 

Si il avait une réponse, elle ne vint pas. 

- Baji ? 

Toujours rien. 

- Roh, aller quoi ! Je sais que tu es là. 

Le silence vient de prendre racine. 

Non mais il ne vas pas me laisser comme ça ?! Et tu sais quoi ? Il n'aura pas ses nouille voila !

... 

- Ho ! Grosse nouille ! 

...

- Idiot finie ? 

... 

- Vient m'aider ou t'auras pas tes nouille ! 

Et là ! Je l'entend courir dans ma direction. Je sourie en sentant des bras me soulever du sol... avant de me jeter sans aucune délicatesse sur une surface moelleuse. Je cris de surprise et me débats une nouvelle fois, avant d'enfin voir la lumière du lustre de sa chambre ainsi que son air renfrogné. 

- T'as promis les nouilles !