CHAPITRE 12

208 5 1
                                    

CHAPITRE 12

— Je vous enmène chez toi T/p ? Me demande Topper

— Euh... oui.

Arriver chez moi.

— Merci Topper.

— De rien. Dit moi s'il va bien.

— Oui t'inquiètes pas.

Je prend le bras de Rafe et le met sur mes épaules. Sarah ouvre la porte doucement. Elle rentre en première pour faire diversion.

Je l'entend dire au autres :

— T/p arrive, elle parle avec un voisin.

— Ok. Disent ils tous.

J'enmène Rafe dans ma chambre.

— Je vais te changer. Et tu vas te reposer. D'accord ?

— Oouuuii

J'enlève son t-shirt et son short. Je vais chercher un t-shirt et un sort à mon père et le lui met.

— Aller t'es tout propre. Couché toi. Je reviendrais te voir.

— D'aaacordeee

Je lui fait un bisous sur le front. Je ferme ma porte et je descends.

Arriver en bas. Je vais voir mes amis. Sarah est sur un transat avec John B. Pope parle avec Kiara et JJ.

— Bah ? Elle est où la boufe ?

— Aah... Euh... C'etait fermer !

— Bizarre... Dit Kiara.

Skip.

19:42

Tout le monde est parti. Sauf Sarah.
On est dans la chambre d'amis où elle dort car Rafe est toujours là. Dans ma chambre.

— Alors ? Comment tu vas faire ?

— Je sais pas. Il dort encore.

— T'es sur que tu ne veux pas dormir avec moi ?

— Non t'inquiète pas. Tu ne veux pas manger ?

— Oh si j'ai super faim.

Je rigole et on descend.

— Sert toi. Je vais voir Rafe.

— Ok. Good luck. (Bonne chance)

— Thank's. (Merci)

Je remonte. J'ouvre ma porte et vois Rafe coucher sur le ventre. Je m'approche de lui et lui câbles cheveux.

— Mmhhh... Salut toi...

— Salut. Bien dormi ?

— Ouais... Comment j'ai atterri ici ? Dit il encore endormi.

— On t'a ramener.

— On ?

— Oui, Topper, Sarah et moi.

— Aah. J'ai mal à la têteeee

— Tu veux manger quelque chose ? Lui proposai-je

— Ouais.. Il est quel heure ?

— Bientot 20h

— Aah ça va.
Avant que je dise quelque choses, il me tire le bras et m'enmène vers lui. Je me tourne pour lui faire face. Il sourit.

— Alors comme ça, tu m'as ramené. Et chez toi en plus. Pas mal.

— Quoi ? Ça te plaît pas ?

— Si si, juste ça me choque. Dit il en passant sa main dans ses cheveux.

On se regarde. Yeux dans les yeux. Il reproche sa tête de la mienne, je fais de même. Et on s'embrasse. Il approfondit le baiser en me portant sur lui. Il se redresse. Pour me retrouver à califourchon sur lui. Ses mains chaude sur mon coup. Mes bras autour du sien. Et mes jambes autour de sa taille.

On s'écarte tout doucement. A bout de souffle.

— Tu vois que tu as aimé. Me taquine t-il

— Tu parles, t'en a profité toi aussi. Dit moi, pourquoi on a arrêté ?

— Tu veux continuer ?

— Oui...

Il sourit. On se re embrasse. Sa langue cherche la mienne. Je lui autorise. Je fais des mouvements de bassins pour l'éxiter. Ce qui marcha.

— Tu sais que je t'aime toi ? Me dit il entre deux baiser.

Il pose sa bouche sur mes seins et je ferme les yeux en sentant sa langue se glisser au milieu. J'enlève son t-shirt, son short et il m'enlève mon short.

— Met toi à genoux, me dit il
Le temps que j'obéisse, il glisse sa main entre mes jambes, sous la culotte, et puis en moi. Je m'agrippe sur la couette du lit tout en essayant de faire le moins de bruit possible. Il ramène mes hanches vers lui et il m'attrape une hanche d'une main, écarte ma culotte de l'autre. Puis il s'enfonce en moi jusqu'à me pénétrer complètement.

— T/p, tu n'arrives pas encore à ce que j'attends de toi.

Son bras s'enroule autour de ma taille. Ses mains glissent sur mon ventre pour s'introduire entre mes jambes. En quelques sortes, il m'accroche d'une main et me détruit de son mieux de l'autre. Il me soulève jusqu'à ce que mon dos se repose sur sa poitrine. Je laisse échapper un bruit et il pose ses lèvres sur mon oreille.

— Chut ! Pas un bruit.

Je ne sais pas si je vais pouvoir encore tenir sans faire de bruit. Mes jambes tremblent et mes mains restent sur mes côtés, agrippant le haut de ses cuisses et je faire appelle à toutes mes forces pour ne pas crier son nom.

— Je t'ai déjà dit combien tu me plaisais ?
     Je pouffe de rire.

ENEMYS TO LOVERS // RAFE CAMERON Où les histoires vivent. Découvrez maintenant