Après qu'on est finit de s'embrasser Lauriane me dit...
Lauriane : « Ça te dit qu'on rentre à l'appartement ?
Moi : Pourquoi tu n'es pas bien ici ?
L : Je suis gênée d'être ici, j'ai peur que des gens nous surprennent...
M : Mais je t'ai dis que personnes ne connaissaient cet endroit, mais bon si tu incites, on va rentrée alors !
L : Désolée mais je n'aime pas être dans le noir comme ça, j'ai peur qu'on vienne nous faire du mal...
M : Lauriane, il t'est arrivée quelque chose quand tu étais plus jeune ?
L : Mais non pourquoi tu dis ça ?
M : Aller c'est bon arrêtes de me mentir, je sais qu'il s'est passée quelque chose, je l'ai senti tout de suite quand on était sur le point de le faire, tu ne m'aurais pas arrêter sinon mais je ne te demande pas de me raconter ce qu'il s'est passée, je te demandais juste s'il s'était passée quelque chose, bon bref on ne va pas s'éterniser là-dessus...
L : Quand j'étais en 4ème...
M : Non Lauriane, je ne te demande pas de me raconter, je n'ai pas envie que tu te fasse du mal si tu me le dis...
L : Marie, j'y tiens vraiment, je te le promets... Alors quand j'étais en 4ème, en ce dimanche du mois de janvier, je ne me sentais pas très bien, mes parents dormaient alors je ne voulais pas les réveiller en sortant par la porte sinon les chiens auraient aboyés et ça les auraient réveiller, alors je suis sortie par ma fenêtre, je me suis promenée dans Nantes et je suis venue au parc,puis il y a 3 garçons qui sont venus me voir mais moi je ne voyais pas leurs visages, ils ont gardés leurs casques de moto, il y en a un qui m'a tenue les bras et m'a mis un foulard sur la page, un autre m'a pris les jambes, ils m'ont emmenés à l'endroit où on est en ce moment même, les 2 garçons me tenaient toujours et le troisième est arrivée, il a commencé à enlever mon pantalon tout en me faisant ces bisous dégueulasses d ans le cou et après il a enlevé mon slip, et lui il a commencé à se déshabiller et puis il a commencé à me pénétrer, il me faisait mal, je pleurais, j'hurlais et les 2 autres garçons qui me tenaient glousser comme des dindons après qu'il est finit son cirque, il s'est rhabillé et il s'est barré avec les 2 autres mecs, je suis restée pendant deux bonnes heures à moitié nue dans le froid puis quelqu'un est arrivée et est venu me secourir, je pleurais tellement, la personne m'a rhabillé et m'a raccompagné chez moi et à tout expliquer à mes parents et tu vois au jour d'aujourd'hui je regrette d'être sortie de chez moi sans avoir avertis mes parents, j'ai tellement peur Marie, qu'un jour ils me retrouvent et recommencent... :'(
M : Tu as porté plaine quand même ? T'inquiète pas maintenant je suis là et je vais te protéger, ne t'en fais pas pour ça, viens dans mes bras mon ange, tu peux pleurée toutes les larmes de ton corps, je vais rangée toutes les affaires et on va rentrée au chaud et je vais te préparer un thé bien chaud et tu vas allée dormir, d'accord ?
L : Oui, on a porté plainte mais ça n'a rien fait vu que tout c'est passée vite et je n'ai pas vu leurs visages, je n'aurais pas du me laisser faire, mais à l'époque j'étais encore une fille trop faible... Merci mon amour, oui pas de problème...
M : Aller rentrons maintenant et je suis désolée de t'avoir fais revivre ce putain de cauchemar :/
L : Tu n'as pas à t'en vouloir, tu ne pouvais pas savoir ce qu'il s'était passée, aller viens dans mes bras et partons de cet endroit... »On part de cet endroit, enfin mon endroit comme je disais au début mais maintenant si je dis à mes parents que je pars m'évader, je ne leur dirais plus que je vais à « mon endroit », maintenant je ne remettrais plus jamais les pieds ici, c'est finit ! Putain qu'est-ce que je m'en veux de l'avoir emmenée ici, quand j'ai vu la colère et la tristesse dans ces yeux quand elle me racontait son histoire, généralement je ne pleure jamais mais son histoire m'a tellement émue alors oui j'ai pleuré quand elle me racontait son cauchemar. C'est horrible de vivre ça, quand je serais gendarme, je ferais tout pour retrouver ces connards qui lui ont fait ça et j'espère qu'ils moisiront bien en taule jusqu'à la fin de leurs vies ! J'ai tellement de colère en moi quand j'écris ceci parce que la justice préfère arrêté des gens qui font des manifestations mais elle laisse dehors des personnes comme eux en pleine nature et j'en suis sûre qu'ils ont recommencés sur d'autres filles ! Ça me répugne de voir des gens comme ça dans la vie, tout comme les pédophiles ou d'autres gens pas bien dans leurs têtes ! Bref désolée c'était une petite parenthèse. On arrive à son appartement, je la pose sur le canapé pendant je nous prépare un bon thé bien chaud au caramel, je reviens au niveau du canapé et je vois qu'elle s'est endormie alors je la porte dans mes bras, c'est une plume cette fille, elle est toute légère, c'est impressionnant, je vais à sa chambre, je la réveille en douceur, je vois qu'elle ne se réveille pas alors je réessaye mais toujours rien alors j'écoute au niveau de son cœur et de sa respiration, il bat toujours et elle respire toujours puis je me dis que je vais réessayer une dernière fois et que si elle ne se réveille pas je la déshabillerais, alors je réessaye et elle se réveille tout doucement alors je lui demande si elle veut que se soit moi qui la déshabille ou si c'est elle qui le fait toute seule et là...
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Chronique de la vie d'une lesbienne (Tome 1)
Fiction généraleL'histoire que je vais racontée est fictive mais avec quelques faits réels.. Et l'histoire que je raconte, je la raconte déjà sur Facebook donc j'espère que cela vous plaira comme ça plaît sur Facebook