ABBA, PÈRE: UN AMOUR INCONDITIONNEL.

Quatre2/2.

4- Voir & entendre.

« Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au père que par moi. »

Évidemment, il y'avait une exception. Il y'avait ceux qui voyaient le monde tel qu'il était. Il y'avait ceux qui n'étaient pas dans les ténèbres. Il y'avait ceux qui voyaient le monde clairement. Il y'avait simplement ceux qui avaient Jésus-Christ.

Le vrai bonheur c'était Jésus-Christ, sans lui tout était fade et dénué de sens.

Jésus était la lumière du monde, ceux qui croyaient en lui ne marchaient pas dans le noir, il les éclairaient et il faisait d'eux des lumières. Il leurs donnait la capacité de voir le monde tel qu'il était. Il leur permettait d'entendre et de comprendre l'évangile que l'on prêchait.

Jésus était le chemin vers la lumière ( il l'était lui-même) il conduisait ceux qui le suivait dans la lumière. Il les montrait comment vivre et il les apprenait à briller. Jésus menait au paradis, il menait au père. Il menait au bonheur, il menait à l'amour. C'est par Jésus que nous avons eu accès à cet amour si grand et si parfait. C'est par Jésus que nous avons notre salut.

Jésus était la vérité. En effet ceux qui ne croyaient pas en lui, vivaient dans le mensonge. Il n'avait pas conscience de ce qui était vrai. Ils étaient bernés par le monde et par tout ce qui frappaient aux yeux. Ils pensaient tout savoir et tout avoir. En vérité, Ils ne savaient rien et n'avaient rien. C'était ça le mensonge. Cette illusion de bonheur et de bien-être, ce mirage de plénitude et de richesse.

Jésus était la vie. Tout simplement. Beaucoup de gens ne comprenait pas, il ne le pouvait pas. Vu d'un certain angle, c'était impossible. Si il était la vie, Nous on faisait quoi ? On ne vivait pas ? On ne respirait pas ? Sans lui, il n'y avait pas de vie. Sans Jésus la vie était limitée, la mort mettait fin à notre existence. Avec Jésus, il n'y avait pas de fin. Entre une existence qui prenait fin et celle qui n'en avait pas, laquelle méritait de porter le nom de vie ?

Jésus remplissait les cœurs, Jésus permettait de voir, Jésus nous rendait capable d'entendre. Il est le chemin, la vérité et la vie. Jésus est la clé du bonheur.

Azaria

Elle finit de ranger la vaisselle, elle en avait marre de cette vie. Elle n'était pas heureuse, elle le savait elle faisait avec. De toute façon si tout le monde était heureux, le bonheur ne serrait pas si convoité, se rassurait-elle parfois. Elle se disait qu'il fallait qu'il y ait des gens malheureux pour que le bonheur est plus de saveur, qu'il soit plus précieux et surtout tant recherché.

Elle retourna dans sa chambre, son frère et sa sœurs étaient sur le lit bas de leur lit superposé, ils n'avaient rien à faire de leur journée, les vacances étaient bien ennuyante pour les deux. Elle prit son téléphone et le déverrouilla. Elle avait plein de messages mais elle n'ouvrit que celui d'Othniel, son meilleur ami. Celui-ci lui proposait de faire un tour en ville. Elle accepta, il devait se retrouvait sur le boulevard du 30 juin.

Elle se changea rapidement dans la salle de bain, troquant sa robe pour un Jean et un t-shirt. Elle revint dans la chambre.

— Vous voulez faire un tour en ville ? Proposa-t-elle à son frère et à sa sœur.

Ça faisait longtemps qu'elle n'était pas sortie avec ses frères et comme Othniel voulait les rencontrer, elle faisait une pierre deux coups.

— Ouais, pourquoi pas ? Répondit Elicha.

— On se fait trop chier ici, Dit Elohim.