L'imagination est quelque chose qui nous appartient, une forme de rêve qui nous emmène au-delà de ce monde. C'est un endroit où nos cauchemars les plus profonds et nos rêves les plus forts prennent vie en nous.
Aujourd'hui même, je vais vous emmener au-delà de tout ce que vous pouviez imaginer ! Un univers qui révèle le secret de la vie...
Tout commença auprès d'une jeune dont tout d'elle était anonyme. Son existence même n'était pas vraiment réelle. Elle accoucha d'une petite fille. D'un coup de tête, enfin presque, elle l'abandonna auprès d'un orphelinat.
Un soir sombre, orageux, cette jeune fille sous sa cape noire, courut comme un éclair, ne dévoilant ni son visage ni son identité. Elle déposa l'enfant, ses yeux ne montrant aucune émotion, et la laissa dans un panier, dehors, seule dans la nuit la plus obscure avec comme seule compagnie la lune. Elle repartit sans laisser aucune trace.
La petite fille était dans un panier enroulé de papier toilette pour lui tenir chaud. Elle resta quelques heures dans ce panier, ayant froid et ne demandant qu'une chose : sa maman. Même nourrissons, ils peuvent ressentir des émotions.
Une dame nommée Marianne ouvrit la porte et trouva au sol une enfant apeurée, en sanglots. Elle la regarda, l'observa et ne pouvait pas s'empêcher d'admirer ses yeux d'une couleur si bleue qu'ils illuminaient la nuit. Elle se demandait même si ses cheveux n'avaient pas été trempés dans l'or.
Marianne souleva l'enfant qui tremblait de froid et de terreur, elle la berça et essaya tant bien que mal de la réchauffer, elle essaya de la réconforter en lui parlant doucement :
"Tout va bien se passer, nous allons nous occuper de toi."
Et en lui assurant que tout irait bien et qu'ils s'occuperaient d'elle.
Elle vit une lettre noire, d'un noir profond mise en évidence dans le papier, avec inscrit dessus " si la vie te trahi est ce un bien pour un mal ?"
Ce message lui sembla étrange comme si quelque chose n'étais pas net.
Elle l'ouvrit et la lut dans sa tête. C'était écrit :"Je vous laisse ma fille, elle s'appelle Elsa ! Elle est née le 25 février. Elle changera le monde. Ne la sous-estimez pas, cependant, elle mettra longtemps à trouver le bonheur. Prenez soin d'elle !"
Marianne ne retint que son prénom, et aucune autre information et prit Elsa et l'emmena au chaud. L'orphelinat était le plus pauvre du pays, les enfants avaient peu à manger et peu de vêtements, mais leur modestie était présente, ils ne se plaignaient de rien.
Elsa fut présentée aux autres enfants qui l'admiraient depuis son premier jour. En grandissant, l'admiration qu'on lui portait ne faisait que grandir, mais sans jalousie, surtout de la bienveillance. Elsa était une petite fille au cœur pur. Malgré la pauvreté de l'orphelinat et le manque de nourriture, elle trouvait toujours un moyen d'aider les plus faibles qu'elle. Elle avait une beauté inexplicable, une bonté exceptionnelle, elle était douée en tout, mais surtout, elle ne se rendait compte de rien.
Elle semblait être heureuse, mais à l'intérieur d'elle, elle se demandait qui elle était vraiment et pourquoi ses parents l'avaient abandonnée. Cette question lui déchirait le cœur.Souvent, c'était le soir, contre la fenêtre, qu'elle se blottissait en regardant la lune, qu'elle trouvait si éblouissante. Pour elle, c'était la déesse de notre monde. Elle voyait la lune différemment des autres. La lune éclairait notre monde et l'aidait à réfléchir. C'était son rayon de la journée, un apaisement mental. Elle serrait son ours en peluche en se posant des questions sur son existence sans réponse.
Au jour des adoptions, personne ne la prenait, en effet la plupart du temps, ce sont des nourrissons qui sont pris. Son rêve était d'avoir l'amour d'une famille, de se sentir aimée. Cependant, elle était consciente qu'on s'occupait bien d'elle à l'orphelinat,elle avait des amies, les adultes de l'orphelinat soccuper bien delle mais elle ne pouvait s'empêcher d'y penser.
Le jour de ses 7 ans, elle ne le savait pas encore, mais un seul évènement peut tout changer...
Le jour de ses 7 ans arriva et on lui organisa une grande fête. Elle commença sa journée comme les autres. Ce fut la meilleure journée de sa vie. À l'école, on lui offrit de merveilleux cadeaux, elle reçut tellement de bonheur. Cette journée lui avait tellement réchauffé le cœur ! Une dernière surprise l'attendait en rentrant.
À 19 heures pétantes, on lui banda les yeux et on l'emmena jusqu'à la salle à manger. Quand elle les ouvrit, tout le monde s'était mis à chanter. Elle était si émue qu'elle rougit ; elle ressentait tellement de réconfort et d'amour. L'amour, mais quel sentiment, se disait-elle. Elle ne savait comment le décrire, à part le crier. Chaque enfant de l'orphelinat sortit un petit cadeau pour Elsa. Elle était si reconnaissante de ce petit geste de chacun.
À l'orphelinat, il y avait une tradition : la personne dont c'était l'anniversaire devait souffler ses bougies seule pour que le vœu qu'elle fasse se réalise. Ils allumèrent les bougies, et tout le monde sortit de la pièce. Elsa fit son vœu, le souhait de retrouver sa chère mère et souffla. Au moment où elle les souffla, près du gâteau, une étincelle apparut et grandit jusqu'à devenir du feu qui grandissait à chaque seconde et prenait la couleur de la mort. Il se propagea sur toute la table et dans la pièce. Les enfants étaient paniqués et évacués sans aucun blessé. Dehors, tout le monde criait de partout, mais les adultes semblaient préoccupés par autre chose, qui n'étais pas ordinaire. La fête n'avait pas suivi son cours. Les pompiers arrivèrent rapidement et éteignirent le feu. Elsa se sentait mal après tout le bonheur qu'elle avait ressenti en si peu de temps. Elle décida d'oublier et de garder seulement le positif mais les adultes l'interpellèrent :
- Reste là ! Sale monstre. On sait que tu as mis le feu, comment as-tu pu ? Nous avons des preuves puisqu'aucune trace d'étincelles n'était présente.
À ce moment, des souvenirs lui revinrent en tête. Avaient-ils fait cela ?
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Elsa "si la vie te trahit il y a une raison "
SonstigesTout commença auprès d'une jeune dont tout d'elle était anonyme. Son existence même n'était pas vraiment réelle. Elle accoucha d'une petite fille. D'un coup de tête, enfin presque, elle l'abandonna auprès d'un orphelinat. Un soir sombre, orageux, c...