Une nuit à l'hopital

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J'étais infirmière de garde dans un hôpital très réputé dans la région, je devais m'occuper d'un certain patient, c'était la chambre de mon ancien harceleur.

Il s'était retrouvé à l'hôpital, car il était en plein milieu d'une bagarre de rue, il était énormément blessé et avait pas mal d'hématomes.

Il ne savait pas que c'était moi qui allais m'occuper de ces blessures.
Je ne savais même pas s'il allait me reconnaître.

J'ai pris mon courage à deux mains et je toquais à sa porte.

- Entrez !

Il avait une voix assez rauque.

- Bonsoir, je suis venue vous examiner.

Je gardais mon professionnalisme pour éviter tout doute possible.

Il souriait, il m'avait reconnue.

- Alors comme ça on est infirmière maintenant ?

- Je ne vois pas de quoi vous parlez...

- Il te met bien en valeur cette petite tenue d'infirmière.
Je ne te voyais pas sous cet angle.
Tu as un joli petit cul...

- Passons !
Bref !
Je vais prendre votre tension et faire quelques analyses.

- Mon corps entier est à toi.

- Je vous demanderai d'arrêter de me parler comme ça.

- Oorh.

Je procédais aux analyses et durant tout ce temps, monsieur me fait les yeux doux et m'envoient des bisous.

- Je vais vous demander de soulever votre haut, je vais mesurer votre rythme cardiaque.

- Vos désirs, sont des ordres.
Et je peux en enlever bien plus.

Je levais les yeux en l'air en guise de réponse.
Il était intéressé par ce que je faisais.

- Voilà, j'ai fini, rien à signaler, vous pouvez rentrer chez vous demain matin.
Bonne soirée.

Je m'apprêtais à partir, mais il me retenait.

- Laisse-moi t'expliquer pourquoi j'agissais comme ça avec toi dans le passé.

Je lui faisais face, les bras croisés, j'attendais qu'il finisse son récit.

- Je t'écoute.

- Je m'excuse pour tout le mal que je t'ai fait gratuitement, j'étais un gros con avec toi.
Et j'aimerais me faire pardonner.

- C'est un peu tard pour des excuses, tu m'as fait énormément souffrir.

- Je sais, j'en suis désolé encore une fois.

- Est-ce que je pourrais avoir une explication par rapport à ton attitude avec moi ?

- Je vais être franc, tu m'attirais beaucoup à l'époque et je ne savais pas comment faire pour attirer ton attention, du coup, je t'embêtais.

- Je vois, je vais y réfléchir, j'ai ton numéro sur ta fiche médicale, je te contacterais si je change d'avis.

Je ne comptais rien faire du tout, je voulais juste m'en aller, je ne pouvais pas pardonner ce qu'il m'avait fait.
Je ne voulais plus le voir.

Au moment où je me levais, il m'attrapait le poignet et me colle près de lui.

Il m'avait embrassé...
Et j'avais répondu, j'en avais envie.

On s'embrassait lentement pendant plusieurs minutes puis il me mettait sur lui, je sentais déjà son pénis se durcir à mon contact.

J'étais faible.

- Pour quelqu'un qui me déteste, tu en as beaucoup envie.
Je te sens déjà tout excité en bas.

- Tu devrais continuer avant que je m'en aille.

- Avec plaisir princesse.

Il déboutonnait ma veste et tombe nez à nez avec mon soutien-gorge.
Il attrapait un de mes seins, qu'il pressait avec sa main, pendant qu'il me déposait plein de suçon sur le haut de mon corps.

J'avais la tête en arrière et faisais des mouvements avec mon bassin, ce qui augmentait plus la tension sexuelle entre nous deux.

Lorsqu'on s'embrassait, sa main parcourait mon corps jusqu'à arriver à mon entrée, il jouait avec mon intimité, je sursautais de surprise, puis il rentrait un doigt, ce qu'il m'a fallu un deuxième sursaut de surprise.

Il avait l'habitude, cela se voyait.

Après ça, il attrapait mes deux mains et m'allongeait de force, il était au-dessus de moi.

- Je vais rentrer en toi, dis-le-moi s'il y a un souci.

J'acquiesçais.

- Avec des mots princesse.

Il était à bout de souffle.

- Oui vas-y.

Il m'enlevait le peu de vêtements qu'il me restait et fait de même pour lui, puis il entrait en moi.
Après plusieurs va-et-vient, il lâchait enfin sa semence.
Lorsqu'il se redresse et se rhabillait, il m'adressait un sourire.

- Alors, je suis pardonné docteur ?

Recueil de lemon Où les histoires vivent. Découvrez maintenant