Par l'amour j'étais effrayé
Mais tu t'attelais à me montrer sa beauté
Tu redéfinissais chacune de mes pensées
Dans cette obscurité avec moi tu es restéTu semblais m'aimer de toutes tes forces
De mon cœur tu as, disons, forcé la porte
Et c'était moins douloureux que je le pensais
En vérité, tout semblait plus doux quand toi tu le faisaisTon arrivée ressemblait à une bourrasque
Une bourrasque douce et paisible
De ma vie tu semblais nettoyer chaque coin
Et mes problèmes les emportaient si loinTu as été ce bruit si paisible
Tu étais ma force si fragile
Tu as été mon désordre si stable
Tu as été mon amour si âpre-Les portes se sont refermées après ton départ-
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Les dernières notes d'un cœur disparu
Poesia« La détresse psychologique est un bien curieux moteur artistique » Pauline Bilisari Alors j'ai écrit.