Mes yeux brillaient toujours en te voyant
Mais les tiens me semblaient plus noirs
Tu disais souvent des choses qui me rappelaient nous avant
Avant ça, avant que tu t'éloignes et que mon monde redevienne noirJe te perdais chaque jour un peu plus
Sans savoir comment te récupérer
J'avais mal chaque jour un peu plus
Sans savoir de quelle manière t'aimerTu n'étais plus la même
Et pourtant rien n'avait changé
Tes sentiments avaient peut-être changé de thèmes Désespérément j'essayais de te rattraperLe soleil perdait de son éclat
La brise perdait de sa fraîcheur
Ainsi s'éloignait le bruit de tes pas
Emportant aussi mon bonheur-Puis un jour nos « je t'aime » n'ont plus de réponses-
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Les dernières notes d'un cœur disparu
Poesía« La détresse psychologique est un bien curieux moteur artistique » Pauline Bilisari Alors j'ai écrit.