Colocataire [Omegaverse] [DekuBaku] [Hybride]

Une partie manquante

Alors que la nuit enveloppait lentement l'appartement d'Izuku, Katsuki se leva du canapé, sentant que l'heure de partir était venue.

Malgré le réconfort et la chaleur de la compagnie d'Izuku, il savait qu'il devait rentrer chez lui pour affronter les défis qui l'attendaient.

"Izuku", commença-t-il doucement, attirant l'attention de son ami qui était plongé dans la contemplation de quelque chose à travers la fenêtre.

"Je pense qu'il est temps pour moi de rentrer chez moi."

Izuku tourna la tête vers Katsuki, un soupçon de tristesse dans ses yeux.

"Déjà ?" demanda-t-il, son ton empreint de déception.

Katsuki hocha la tête, comprenant le sentiment de son ami.

"Oui, je suis désolé. Je dois me préparer pour demain", expliqua-t-il, essayant de dissimuler l'incertitude qui grandissait en lui.

Izuku se leva également, se dirigeant vers son ami avec une expression d'acceptation.

"Je comprends", répondit-il simplement.

"Mais sache que tu peux rester ici aussi longtemps que tu en as besoin, Katsuki. Tu es toujours le bienvenu chez moi."

Un sourire reconnaissant étira les lèvres de Katsuki.

"Merci, Izuku. Je l'apprécie vraiment", dit-il sincèrement.

Les deux amis échangèrent un regard chargé de compréhension, chacun reconnaissant l'importance de l'autre dans sa vie.

Puis, dans un silence empreint de camaraderie, Katsuki se prépara à partir, enfilant son manteau et récupérant ses affaires.

Avant de franchir la porte, il se tourna une dernière fois vers Izuku, un sentiment de gratitude et de détermination brûlant dans son cœur.

"À bientôt, Izuku", dit-il, sa voix vibrante de confiance.

Izuku lui adressa un sourire chaleureux en retour.

"À bientôt, Katsuki. Prends soin de toi."

Avec cela, Katsuki quitta l'appartement d'Izuku, se sentant à la fois reconnaissant pour l'amitié qu'il avait trouvée et résolu à affronter les défis à venir.

Une fois que Katsuki eut quitté l'appartement, une sensation de vide s'installa dans le cœur d'Izuku.

Il se retrouva seul dans son espace familier, mais il sentait comme un poids sur sa poitrine, comme s'il était soudainement privé d'oxygène.