Mes journées s'illuminent doucement dans d'épais nuage gris,
Pour moi, j'imagine que ces lumières m'indique que c'est enfin fini.
Le ciel me paraît un peu plus beau, nuancée d'une lueur obscure,
Mais ma plaie gardera cependant avec elle toutes ses tortures.
Pour certaines raisons, je ne pourrais jamais aller complètement bien.
Mon esprit reste préoccupé par la douce noirceur de mes pensées
Qui, sans repos, viennent m'assaillir dès mon réveil au matin
Avec une violence sans pareil, continuant sans cesse de me fatiguer.
J'aimerais que toutes les peines de mes proches soient comblés,
C'est naïf, enfantin, c'est aussi ce qui m'importe le plus au monde,
Retrouver leurs sourires après cette tristesse douloureuse et profonde.
C'est ce que je désire, me plier en quatre pour les aider, même si je ne suis pas assez.
Seulement après, j'espèrerais que ma conscience sera comme reposée.
Parce que tout le monde aura retrouvé une forme de sérénité.
Les choses s'amélioreront grandement de tout ces changements,
Cela ne veux pas dire que je veux qu'ils deviennent une autre personne pour autant.
Bêtement, je souhaite que tout le monde aille mieux même si je sais que ce n'est qu'une illusion utopique.

VOUS LISEZ
Poèmes
PoetryJeune poétesse de dix-sept ans, Trop torturée pour vivre correctement Ecris ses premiers poèmes Pour évacuer de cette manière qu'elle aime. La vie n'est pas ce qu'elle semble être, elle est factice et fastidieuse...La mort ? Oui, elle semble bien pl...