- Bon vous savez quoi c'est pas grave je vais rentrer seule de toute faço.......
11:30 AM, le lendemain :
Les rayons du soleil qui passent à travers l'une des fenêtres ouvertes viennent caresser mes joues. Le vent frais s'introduit dans toute la pièce et sa brise me réveille petit à petit. Je rabats un peu plus la couette sur mes épaules.
Mais attendez quelques minutes, je suis ou là ?
Ma tête me fait un mal de chien et j'ai l'impression d'avoir la gueule de bois. Dans quoi je me suis encore foutue purée.
Je suis dans une sorte de chambre. Je dis sorte car il y a une cellule de prison à côté du lit dans lequel je suis, et je ne pense pas que cela soit commun à toutes les chambres.
Pourquoi diable une cellule serait-elle là, dans une chambre ?
Elle est assez grande et les murs sont couleur or et il y a un énorme lustre en diamant , ce qui laisse en déduire que son propriétaire doit être assez aisé.
Il y a un grand cadre photo sur le mur d'en face. On dirait un portrait de famille. Ils tiennent tous un révolver dans leur main y compris un jeune petit garçon. Quelle horreur d'initier les enfants aux armes dès leur plus jeune âge.
Une vague d'anxiété commence à me submerger, mes pensées s'embrouille dans un mélange de confusion et d'appréhension.
C'est effrayant mais ou est-ce que je suis bordel et comment j'ai atterrie là ?
Un téléphone est positionné sur une table de nuit à côté de moi. Je m'empresse de le saisir mais celui-ci ne s'allume pas. Bizarre.
Alors je me lève, la peur au ventre, et attrape la poignée de porte et essaie de m'échapper de cette pièce.
Merde elle est fermée, fallait s'y attendre.
Au moment même ou je la relâche, des bruits de pas se font entendre derrière celle-ci. Je me ru sur le lit et ferme les yeux en serrant la couette le plus fort possible.
La personne déverrouille la porte, et j'ouvre légèrement mon œil droit pour essayer d'en savoir d'avantage sur la situation à laquelle je fais fasse.
C'est un homme, il doit avoir la vingtaine environ.
Il est blond, son regard perçant et son allure assurée remplissent l'espace. Il est vêtu d'un costume sombre qui met en valeur sa silhouette athlétique, il dégage un charisme indéniable.
Ses yeux me scrutent. Il s'approche de moi et s'apprêtait à attraper mon bras, lorsque son téléphone retentit.
DIEU MERCI.
Il s'éloigne au fond de la pièce tout en continuant à me scruter.
Il décroche et se mets à parler dans une autre langue.
Mon cœur bat si vite que je peux l'entendre. Des petites goutes de sueur descendent le long de mon front qui lui est pourtant glacé. Mes mains sont moites.
- Non preoccuparti, il capo si è occupato della ragazza, dovresti essere più preoccupato della consegna di stasera...
J'essaie de me concentrer sur ce qu'il dit, mais j'étudie le russe moi pas ce qui semble être de l'italien.
Il vient enfin de me lâcher du regard pour se tourner vers la fenêtre et se concentrer un peu plus sur sa conversation téléphonique.
La porte est toujours ouverte. C'est maintenant ou jamais Hailey !
Mon cœur bat la chamade tandis que je prends une profonde inspiration, rassemblant tout mon courage pour ce qui va suivre.
Sans perdre un instant de plus, je glisse hors du lit avec une précaution extrême, mes pieds effleurent à peine le sol pour minimiser le bruit.
Chaque craquement du parquet semble résonner dans la pièce, remplissant l'air de tension palpable.
Mes yeux scrutent fébrilement la chambre à la recherche de toute arme ou outil qui pourrait m'aider dans ma fuite.
Mon regard se pose sur un objet métallique brillant posé sur la commode à côté de la cellule. Un couteau ! Je m'en saisis rapidement, sentant son poids rassurant dans ma main moite.
En scrutant celle-ci d'un peu plus près, je m'aperçois qu'il y a plusieurs taches de sang sur chaque barreaux.
Une goute de sueur froide perle sur mon front à cette vue. Il faut vraiment que je m'en aille d'ici.
Je me dirige vers la porte, mes muscles sont tendus comme des ressorts prêts à bondir à la moindre alerte.
Je jette un dernier regard derrière moi, vers l'homme blond toujours absorbé par sa conversation, et je franchis le seuil de la chambre.
Chaque pas est calculé, chaque mouvement fluide et silencieux dans l'obscurité étouffante de ce repaire de l'ombre.
Une fois sortis, je découvre un immense couloir désert. L'ambiance est pesante tellement cet endroit est calme.
- Puttaa, elle n'est plus là !
Merde ! le grand blond et son accent italien se sont aperçu de mon absence. Vite dépêche toi ! trouves une solution Hailey !
En voyant une porte entrouverte tout au bout du couloir, mes jambes se mettent à courir à toute vitesse, l'adrénaline pulsant dans mes veines.
Je me retourne pour voir si on ne me suis pas.
L'homme blond vient de sortir de la chambre et 2 sortes de gardes sont à ses côtés mais on ne dirait pas qu'ils cherchent à me rattraper.
Comme ci ils savaient déjà que c'était cause perdue pour moi.
J'accélère le plus vite possible, et une fois arrivé, je referme directement la porte derrière moi.
Ouf, il s'en est fallu de peu.
En courant, je me suis malencontreusement blessée avec le couteau, quelle imbécile je suis.
Je pivote légèrement la tête vers la droite pour voir ce qu'il m'entoure, c'est une gigantesque pièce mais beaucoup plus foncée que l'autre. Les murs sont noirs et seul les lumières du soleil l'éclaire.
J'espère y trouver de quoi soigner ma main. Une grande armoire grise claire sur la droite attire mon attention. Elle ressemble fortement à une de Pennsylvanie qu'il y avait dans la chambre de mes parents.
Elle est fermée à clef. Il faut que j'essaie à tout pris de sortir de cette immense demeure qui me parait aussi grande qu'un château.
Lorsque je me retourne, je me fige complètement après avoir vu sa silhouette assise contre le bureau au milieu de la pièce.
Ne me dites pas que c'est pas vrai.
- Bonjour Hailey...
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MES PETITES NOUILLES CHINOISES COMMENT ÇA VA ???
this is the ✨chapter 6✨
J'ESPÈRE QUE VOUS AIMEZ 🤭
mais elle a vu qui pour être chokbar comme ça même 😔
bon allez j'en dis pas plus 🤫
HAVE A GOOD DAY GIRLS 💕
VOUS LISEZ
Lies
De TodoMoi, Hailey Woods, adolescente de 18 ans, je dois faire face à la perte de ma mère et à la dépendance à l'alcool de mon père. Ensemble, nous cherchons un nouveau départ dans l'éclatante ville de Las Vegas. J'espère y trouver un refuge pour nous deu...
