J'y ai cru pourtant.. [EN PAUSE]

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Précédemment dans le dernier chapitre :
Je vois c'est une notif de message
Qui peut bien m'envoyer un message à cette heure ci
Salma : wsh c'est qui
Je déverrouille et voit que c'est un numéro inconnu qui m'a envoyer une photo
J'appuie dessus et là le choque

J'appuie dessus et là le choque c'était une photo de Sofiane avec une fille sur lui en train de s'embrasser bon j'appellerais pas ça une fille vu comment elle est habiller c'est plutôt une keh

Je montre direct la photo a Salma elle est bouche bée

Salma : j'suis outrée il est sérieux là

Moi :

J'disais rien enft je savais pas quoi dire j'étais juste sous le choque qu'il puisse me faire ça j'le savais j'l'avais sentie j'vous l'avez dis les filles que j'avais un mauvais pressentiment par rapport à cette fête

Sans que je ne m'en rende compte des larmes coulent sur mes joues

il venait de me tromper car oui je considère ça comme de la tromperie et jamais je ne lui pardonnerai

On peut tout pardonner sauf la tromperie c'est inacceptable

Salma : bébé ne pleure pas ok

Elle me prend dans ses bras et là j'éclate en sanglots c'était trop pour moi

Salma : Chuut ça va aller il ne te méritais pas

Moi : mais c'était mon première amour je l'aimais

Salma : je sais mon cœur je sais

Elle me caresse le dos en me consolant

Moi je faisait que de pleurer j'arrivais plus à m'arrêter

Salma : appel le au moins

Moi : t'a raison je vais lui demander des explications

Je prend mon téléphone et l'appelle

Il répond pas

Je le rappelle une deuxième fois

Moi : toujours rien il répond pas

Salma : pff quel incapable

Moi : j'vais faire quoi moi

Salma : tu va le quitter ?

Moi :

Est-ce que je le quitte ?
Il m'a quand même trompée
mais à tout moment il a une bonne excuse
Non rien n'excuse la tromperie s'il voulait vraiment de moi il n'avait qu'à se retenir
Enft je sais pas j'suis perdu qu'est-ce que je dois faire

Salma : allez viens dormir comme on dit la nuit porte conseil

Moi : oui t'a raison

On va se coucher heureusement j'ai un lit deux place sinon on aurait été comme des sardines

[...]