La Malédiction de la Mer Bleue
Jean Eldric, un génie de l'invention, est appelé à perpétuer l'héritage scientifique de son grand-père Miguel Eldric. Alors qu'il se concentre sur la conception d'un avion perfectionné, il est visité chaque nuit par un...
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Année 1883 du calendrier Virdyan. Cette histoire est celle d'un jeune inventeur qui allait bouleverser le monde de la science.
Jean Eldric, jeune inventeur amateur, découvre une ancienne carte dans une petite boîte ayant appartenu à son grand-père, accompagnée d'un petit journal, les mains tremblantes d'excitation, dénoue délicatement le lacet usé qui retient la couverture du journal. Le cuir craque doucement sous ses doigts, révélant des pages jaunies par le temps et empreintes de l'odeur douce de l'aventure. À la première page, les mots calligraphiés "Journal de Bord de Miguel Eldric" captivent son regard, et un sourire se dessine sur son visage. "Mais c'est le journal de grand-père !" murmure-t-il, presque incrédule.
Avec précaution, il tourne la page, laissant le papier crissant sous son toucher fébrile. Les mots, empreints de l'encre noire vieillie, dansent devant ses yeux, lui révélant les secrets d'une époque révolue.
Année 1840, c'est avec détermination que moi, Miguel Eldric, entreprends un voyage vers des terres lointaines. Mon but : retrouver des traces de technologies anciennes que mon oncle Ethan a affirmé avoir vu tomber du ciel, atterrissant dans son poulailler.
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24 Mars 1840 : Départ vers l'ouest de "Mechanic Town" à la recherche d'indices, je fais cap vers la ville de "Marezura".
Jean Eldric était plongé dans le journal de son grand-père, absorbé par chaque mot, chaque détail. Soudain, il tomba sur un paragraphe intrigant. Son cœur battait plus fort, son esprit tourbillonnait d'excitation. "Grand-père, as voyagé quand-t-il étais jeune?" murmura-t-il, ses doigts parcourant les lignes usées du carnet, son regard cherchant des réponses dans les pages silencieuses.
14 juin 1840 : Dans le village côtier de Makaco, les embruns salés fouettaient mon visage tandis que je questionnais un vieil homme au visage buriné, qui prétendait connaître l'origine de la technologie tombée du ciel. Ses yeux brillaient d'une lueur étrange alors qu'il racontait l'histoire d'un capitaine de navire. Ce dernier, par une nuit sans lune, avait aperçu la silhouette d'une ville flottante dans le ciel. À travers leurs longues-vues, les marins avaient distingué des tours scintillantes et des formes mouvantes, bien que la distance ne permette pas une vue nette.
