Chapitre : La mise en situation

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Il était une fois un moustachu dont le rêve de toute une vie venait d'être volé. Il se trouvait désemparé, prêt à en finir.
Il avait réussi à implanter ses firmes dans tout le pays et plus encore, avait réussi à convaincre des milliers de gens et à se faire de L'OSEILLE.
Et voilà, encore une fois, que tous ces alliés de mes deux avaient tout fait foirer. Quelle bande d'encu... Flure.
Parés de bonnes intentions, ils avaient mis fin à son trafic d'êtres humains. Comment ça déporter des humains dans des trains à bétail jusqu'à des camps avec des jolies douches (mais pas dorée, non, plutôt gazées) c'était IMMORAL ? D'OÙ WSH ?

Sa femme, femme du FURHER depuis 1 jour déjà (que le temps passe vite vite vite) Eva Sectomie-Hitler venait de GLOUP du cyanoacrylate de cyanure cyanosé. Elle était morte, dead, clamsée, crevée, décédée, suicidée, aux portes de l'enfer/paradis. Ah non enfer c'est sûr...

Heureusement, Blondi, sa grosse chienne, était toujours là. C'était un teckel nain : une grosse saucisse comme on les aime. Une petite léchouille sur sa moustache suffisait à le réconforter en temps normal, mais désormais c'était plus difficile.
Alors qu'une grosse (pas comme sa bite) larmichette coulait le long de sa joue flue, il entendit une voix qui venait de sous son balcon :

"JULIETTE JULIETTE!

-MOI C'EST ADOLF CONNARD ?!

-DÉSOLÉ !

-TU VEUX MONTER ET PRENDRE UNE PINTE AVEC MOI ?"

Il n'eut pas de réponse mais 3,08 secondes plus tard il vit une tête de con sortir sur sa terrasse avec lui. Il semblait jeune !-13 ans à peine ! Mais une calevasse était déjà biiiiiien présente, laissant apparaître son beau crâne luisant.

" Alors, je t'offre une pinte ? Contre un beau sourire !"

Le JEUNE GARÇON s'exécuta, les dents déjà jaunies par le temps, ou la cigarette, ou la beuh...

Adolf alla chercher, à la cave, près de là où étaient rangés les enfants, des belles bières, puis il retourna sur le bal con.

" Alors, comment tu t'appelles joli cœur ?

-Éric Zemmour. Mais tu peux m'appeler le Z. Et toi Adolf ? Je peux t'appeler Adolfus ?

-Non, mais tu peux m'appeler le H !

-D'accord Adolfus. Alors que fais-tu en cette belle journée ensoleillée du 30 avril 1945 !"

Le moustachu regarda alors le ciel avec un air penseur, philosophique, profond et rempli à ras bord.

" Oh bah tu sais ma femme vient de dead, elle est encore dans le lit toute chaude, elle attend.

-Elle attend quoi ?

-Que je la rejoigne pardis ! Mais avant ça je me devais de m'occuper de Blondi.

-Cki Blondi WSH ?" Demanda Eriqueue.

"Tu vois pas la grosse saussice ?"

Le regard d'Eriqueue se dirigea en temps record vers sa beuteu.

"Ah bah dis donc, on dirait pas comme ça ! D'ici je dirais 3/4cm max.

-Bingo ! Petite et pas douée. Ma femme m'a toujours dit qu'elle sentait rien et j'ai pas de gosse. Mais je ne parlais pas de celle-ci ! Je parlais de celle-là !"

Il montra alors du doigt la chienne qui haletait à ras du sol.

« Comment ça, s'occuper de Blondi ?

-Bah ? Lui tirer une balle ! Droit entre les deux znieux !

-Mais pourquoi donc ?

-Pour qu'elle ne reste pas seule quand j'irai rejoindre ma femme de longue date.

Happy Zone To Meet JoyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant