Chapitre 1

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Le domaine de son adolescence elle y dansait en chemise de nuit avec son ami. C'était a leurs habitudes de s'y retrouver une fois le soleil couché et la nuit se dressant derrière les fenêtres. quand personne n'était là debout a pouvoir les observer, les juger, ou leurs rappeler les interdictions placée sur cette union. parce qu'elle est promise, lui d'une classe plus populaire. Il était en face d'elle, ses yeux noirs scintillants sous la lumière de la lune qui se faisait un passage a travers les vitres. Il la fait tourbillonner, ils dansaient, car ils ne pouvaient pas le faire la journée. Après cette danse ils prirent un repos elle s'assied il rapprocha une chaise pour se mettre près d'elle. Elle leva son regard et croisa celui d'un miroir. Celui ci ne la réfléchis pas en retour. elle voyait son concubin mais elle, elle n'apparaissait pas. Une alarme retentis. Cette inventions insupportable du monde moderne venait de la sauver de ce cauchemar.


Elle ouvre les yeux et tapote la table a côté de son lit.

"-t'inquiètes je l'ai éteint.

-Samantha retourne dans ton alcôve !

-oula! de mauvais poil ?

-fichtre !"

Elle parti et la laissa seule. Louise, grande, blonde à la taille fine et aux yeux verts se leva, non sans mal, et se dirigea vers la coiffeuse blanche, en bois, dans un angle formé par un mur et le rideaux qui la sépare des parties de chambres de ses "colocataires", les parasites avec qui elle doit partager sa pièce et son intimité. Elle s'assied et une fois devant le miroir une fois de plus son reflet n'est pas discipliné. Elle n'apparaît toujours pas comme dans son rêve. Elle souffle, comme si il allait réapparaître... la vérité elle est usée de ne pas pouvoir se voir. C'est vrai, elle était plutôt jolie. Heureusement elle est dans une école où les gens ne jugent pas. elle a 16ans, enfin si on peut dire ça. Elle est dans un lycée pour décalés, dégénérés, qui ne se voient plus dans un miroir par exemple. Ici les étudiants sont tous « spéciaux »; tant, qu'elle n'est pas si folle de ne plus se voir dans les vitres.

Louise coiffe ses longs cheveux blonds et se mit un rouge à lèvres rosé. Elle s'habille d'une robe longue simple cintré à la taille avec des motifs de fleurs.

Elle tire le rideau et apparaît Samantha et Morgan ses deux parasites.
Samantha est une fée ratée, elle tue instantanément toute les fleurs qu'elle touche. Ceci est drôlement ironique puisque « antha » dans son prénom est un dérivé grec signifiant fleurs. Morgan elle est une sirène. A chaque goutte d'eau l'effleurant une queue et des écailles apparaissent; ceci n'est pas pratique, vu que celle ci a du mal à boire proprement.

Ces deux « parasites »d'apparence douteuses le sont à son sens réellement peu être parce que la blonde les trouvent inintéressante et immatures.

Samantha est rousse, sa peau est claire, ses yeux verts ont un éclat surnaturel. Elle est mignonne mais sans plus.

Morgan, elle, dégage en même temps une certaine puissance est une attraction presque malsaine. Elle attire et éloigne. Elle est pourtant quelconque. Elle est brune, Ses yeux sont si clairs qu'ils en paraissent transparents, sa peau est aussi plus foncée.

Elle n'a pas la prétention de se trouver mieux sur ce points quoique un peu mais elle, qui veut se montrer humble, ne l'avoueras pas.

Samantha et Morgan rigolent, pas d'elle, surement sur un garçon que Morgan aime bien. Louise ne l'a comprenait pas. l'amour... Elle aurait mieux fait d'accepter son mariage. chercher a aimer est si stupide.

"-tu en penses quoi, toi, Louise ? ( demanda Morgan, les yeux pleins d'espoirs sur la réponse de l'intéressée. mais l'intéressée en question ne l'était pas )

- Je ne sais pas, je m'en fiche " répondit -elle. La blonde traverse ensuite la pièce et prit la porte.  Elle entendit une fois dehors Morgan déçue et Samantha lui dire que de toute façon je suis une ordure. "Pourquoi ? Pourquoi tu es si méchante avec elles, elles veulent seulement se rapprocher de toi..." "tais -toi! tu sais comme moi que c'est inutile!" aboya-t-elle.

Les gens se retournèrent. aussi elle hurle seule. Les regards pèsent sur elle. Elle baisse la tête. Elle avança, perça la foule. Oui, même pour des fous, elle est folle.


***


Louise. Ses doigts dansent sur les touches de son piano. Cela ferait craquer n'importe quel homme. Mais en particulier le majordome de la maison, Léandre, un bel homme ayant la vingtaine. Il a des yeux noirs scintillants. Il est très grand et ses cheveux sont également noirs. Il écoute Louise jouer, elle est jeune mais en âge de se marier. Son maitre a prévu de la marier prochainement avec un duc cinquantenaire pour qu'elle puisse jouir d'une bonne classe sociale. Cela s'entend dans son jeu. Sa mélodie est triste alors qu'elle est habituellement joyeuse. Léandre est chargé de l'envoyer a son père mais il est amoureux de la musique de la jeune fille ce qui l'empêche d'ouvrir la porte et le force a rester derrière pour prolonger ce moment. Il doit malgré tout ouvrir cette porte. Il ouvre et Louise arrête de jouer en l'entendant.

"- Excusez moi mademoiselle, votre père m'envois... Se justifia-t-il.

-Ne vous en faites pas Léandre. J'en avait marre de toute façon." Ceci était de toute évidence faux. Elle pourrait jouer sans cesse jusqu'à l'épuisement. Mais elle aussi a de l'affection envers Léandre et elle ne veut pas qu'il se sente gêné.





"Léandre! Tu te rend compte qu'elle s'en fiche de moi a ce point ?!" L'intéressé fut tiré de ses pensées. Par la fille avec laquelle il était en couple en ce moment; Morjan? Marianne? Marie-Jeanne? Il ne sait plus mais c'est une sirène. Sa première fois avec une de son espèce et c'est stylé.

"-Elle m'énerve! Elle ne parle a personne, a part ceux dans sa tête, elle est folle! Je ne sait pas ce que c'est mais elle est c*nne."  Il faut dire qu'elle était mignonne. Enfin Léandre aime surtout ce quelle dégage. Une puissance et un danger. Il aime ça, les fille avec un charme pareil attirantes de par leurs dangerosité.

"-Tu m'écoute ? Demanda-t-elle dans une mimique enfantine.
-Bien sur, mon petit poisson!
- Ah Léandre.... Je n'ai jamais été aussi heureuse avec un homme. Mais au fait, qu'est-tu ?
- comment ça que suis je? Je suis juste un homme fou d'une sirène ... » A cet instant son regard est juste terrifiant. Ses yeux plongent au plus profond de l'âme du jeune homme. Cela lui plaît. Non, il adore ça. Il fit un rictus.

« Tu mens, tu dégages autre chose. »
Il réfléchit « Quoi donc ? » La défia t'il.

Louise De CastielOù les histoires vivent. Découvrez maintenant