- Mademoiselle de castiel! Comment vous portez vous aujourd'hui ?
- Très bien merci. Elle se releva de sa révérence. Un homme est en face d'elle, il doit avoir la trentaine il est blond, bien bâti aux yeux gris. Son père est à côté de lui. il ignore Louise Pour s'adresser à l'homme.
"-Voici ma fille, Louise. Vous plait elle cher Duc ?
- Elle est fort charmante, à l'image de son père, qu'en est-il de sa dot ?
- 100 000 francs.
-remarquable. Ca me va. Louise écoute sa vente a cet inconnu en silence. bien sur que ça allait arriver, c'est humiliant, mais ça devait arriver.
-puis-je disposer père ?
-Bien sur allez donc."
Elle fit une autre révérence puis elle partie. Elle va dans ses appartements. arrivée là elle s'assied pour digérer cette scène.
On toqua à sa porte. Elle dit à l'individu d'entrer. Léandre ouvre la porte un plateau à la main avec une théière posée dessus.
" Je vous apporte du thé.
-Merci. peut tu le boire avec moi ?
-Si c'est votre demande. Il s'installe a ses côtés et servit deux tasses de la théière.
- Mon père m'as fiancé avec un duc.
-...
-Tu ne dit rien ?
-Que dire ?
-Léandre, je ne connais pas cet homme. Il a le double de mon âge. Je ne veux pas être avec lui.
-Mes paroles ne vont pas changer votre destin.
-Léandre, Je veux être avec quelqu'un d'autre. quelqu'un comme toi.
-Louise nous ne pouvons pas être ensemble. Vous êtes fiancée, je suis votre domestique et...
- Et quoi ? qu'a tu?
-j'ai vingt ans. Depuis dix ans. Louise je suis un monstre.
-...Elle ne répondis pas, bouche bée, son regard deviens livide.
- Louise répondez moi. Je vous en supplie."
Elle se lève. des larmes coulent sur ses joues. Elle part en courant. Léandre se jeta à sa poursuite. Elle sort du manoir en furie. Elle part vers la falaise elle cours, rien ne l'arrête. Elle se retourne au bord du précipice. Léandre la rejoins. Il lui cris de s'arrêter. Elle sursaute. trébuche à cause de ses talons. Et tombe dans le gouffre. Elle entends Léandre hurler au dessus d'elle. Elle sent la fraicheur d'une dernière larme sur sa joue. Le vent qui défait son chignons. Sa robe qui peine a rester en place avec les bourrasques. Puis une énorme douleur la parcourant des pieds à la tête. Une caresse effleure sa joue avant qu'elle sombre dans les méandres.
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Louise De Castiel
RomanceLe domaine de son adolescence elle y dansait en chemise de nuit avec son ami. C'était a leurs habitudes de s'y retrouver une fois le soleil couché et la nuit se dressant derrière les fenêtres. quand personne n'était là debout a pouvoir les observer...