Louise ouvrit les yeux. elle est dans son lit dans son domaine. un médecin est en face d'elle. "C'est un miracle comment avez vous pu survivre après une telle chute ?
-Je l'ignore. chuchota-t-elle" Elle aperçoit Léandre à la porte et elle fit mine de ne pas le voir. Elle regarda le médecin regrouper ses affaires. Son père la regarde avec inquiétude. Elle dit qu'elle va bien. Il fit entrer le duc dans la pièce, Louise se redressa donc. Il se présente le duc Artur de rochebon c'est vrai qu'il ne s'était pas présenté quand il l'a acheté. Elle le salua du mieux qu'elle pu. Il n'en tient pas rigueur. Il s'assoit sur un fauteuil à son chevet. Il commence à parler de ses exploits il a 29ans il était engagé dans l'armée jusqu'à récemment. Louise lutte pour ne pas s'endormir. Elle entend un cheval courir elle regarde par la fenêtre elle est au deuxième étage. Elle ne voit rien. pas de cheval. Elle voit un écureuil sauter de branche en branche l'arbre est à 15 mètre de la fenêtre elle ne devrait pas le voir.
Elle se concentre sur ce qu'elle peut voir d'autre un oiseau chante au sommet de l'arbre. Il a l'air appétissant. Quoi ? Comment ça ? Comment cet oiseau pourrait avoir l'air appétissant ? Elle panique légèrement en regardant a travers la fenêtre. Le duc semble le remarquer et stoppa son récit. Il regarde dans la direction où Louise regarde en espérant trouver ce qui la fait tressaillir.
« -Mademoiselle? Allez vous bien ? Vous semblez... perturbée.
- oh, elle a été surprise. Excusez moi.. je suis fatiguée... reprenez c'était très intéressant. » il reprit, elle se tourna vers lui. Elle le regarde et elle baissa les yeux des siens jusqu'à son cou. Elle les remonta directement mais elle se sent irrésistiblement attirée vers ce cou elle veut le croquer et boire son sang. Non c'est impossible. Une jeune femme de bonne naissance ne peut pas avoir ce genre de pensées. Mais pourtant.. ses yeux redescendaient. Elle secoue la tête avant de lui demander.
« - Je suis navrée mais je suis épuisée. J'ai besoin de repos. Je ne peux pas me maintenir éveillée plus longtemps.
- très bien. Je vous laisse. Au revoir. » il se leva confus et parti en fermant la porte derrière lui. Elle s'affaissa. Elle ne sentait aucune douleur. Aucun vertige. N'avait aucune blessure. Voyait à des mètres avait une bonne vue. TRÈS bonne vue. Meilleure que d'ordinaire. Et entendait des chevaux sans les voir. Elle mourait de faim mais ne voulait d'aucun aliment. Elle voulait du sang. Non impossible. Elle ne pouvait pas fermer l'œil la nuit qui suivi. Elle regarde par la fenêtre. Elle entend des pas dans le couloir. Il doit être 2:00 du matin mais elle n'y porte pas attention. Les pas se rapprochent de sa chambre. La poignée tourna très discrètement mais elle l'entend distinctement à l'autre bout de la pièce. Elle va vers la porte une fois devant elle n'est pas ouverte elle s'est déplacé monstrueusement vite. A l'instant où la porte s'ouvre Louise saute sur l'arrivant. Sans regarder qui c'est son instinct tiraillé par la fin planta ses dents dans le premier bout de peau qui passa sous ses yeux.
La personne ne bougea pas mais Louise ne le remarque pas elle y était fermement attaché lorsqu'elle entra dans la chambre de la jeune fille et ferme la porte avant de s'appuyer sur le mur tout en portant Louise qui lui suçait le sang.
Quand Louise releva la tête le contour de la bouche est pleine de sang. Ses yeux regardèrent avec dégoût son œuvre. Les trous dans la peau si tendre de cette... personne... elle relève brusquement la tête et tombe nez à nez avec Léandre. Il l'a regardé avec compassion. Elle le regarde avec incompréhension. Elle voulait parler mais rien ne vient à sortir de sa bouche. Il la prit dans ses bras et lui chuchote à l'oreille « tout va bien Louise. ». Elle se débâti d'un coup. Non ça ne va pas bien. Elle vient de boire du sang. Elle a aimé. Et qu'est-ce qui lui arrive ?
Cette soirée de 1659 est gravée dans sa mémoire
«Morgan, je te le redemande! Où as tu entendu ce nom ?! »
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Louise De Castiel
RomanceLe domaine de son adolescence elle y dansait en chemise de nuit avec son ami. C'était a leurs habitudes de s'y retrouver une fois le soleil couché et la nuit se dressant derrière les fenêtres. quand personne n'était là debout a pouvoir les observer...