L'amour Lointain Neteyam X Oc

chapitre 11 fuire

Quand la voix fut libre on coura le plus loin possible d'eux, les autres nous suivait, j'avais vu Neteyam mais j'avais eu le temps de lui parler, on coura le plus vite possible pour nos vies, il semblait que les sully avait réussi à tuer nos assaillants, le combat était terminé?

Spider tombe alors et s'enfonce dans la forêt, Kiri voulais aller le chercher mais on avait pas le temps on devait courrir pour nos vies.

J'appelais alors Nai pour qu'il vienne à notre secours, je monta avec Tuk sur son dos, fit le lien puis nous avons pris le chemin du retour vers le village. On étaient les premières à être arrivées, heureusement personne était mort, tous le monde étaient revenus à part Spider, le pauvre j'espérais qu'il allait bien, quand je vit Neteyam arrivé il coura pour me prendre Tuk et moi dans ses bras.

J'ai eu tellement peur. Merci Leyra d'avoir veiller sur Tuk. Dit t'il soulager. Je n'avais pas servi dans le combat mais j'avais réussi à ramené Tuk saine et sauve après tous je devais bien ça au Sully, sans eux je serais sûrement morte où encore entre les griffes de humains.

C'est rien, je suis soulagée qu'il ne te soit rien arriver. Di-je en lui souriant.

Moi aussi. Me dot til en me rendant mon sourire.

Après ça les parents rentrèrent, ils m'ont aussi remercier pour avoir protéger Tuk, et ils nous prirent tous dans leurs bras, ils étaient vraiment soulagée que tout leurs enfants soient en sécurité.

Kiri devait être triste à cause de la disparition de Spider, j'alla la voir pour essayer de la réconforter. Kiri, ça va, je sais que ça doit être dure pour toi d'être séparé de lui.

Il me manque déjà, je les ai vus l'emmener avec eux, j'ai peur qu'il lui arrive quelque chose. Pleura t'elle.

Je suis vraiment désolé, il va s'en sortir, il est fort. Di-je pour la rassurait en la prenant dans les bras. J'étais pas vraiment douée quand il s'agissait de consoler, j'essayais de dire ce que je pensais être réconfortant mais comme avant je n'avais pas vraiment de contact avec d'autres personnes que mes parents j'apprenais aussi à vivre en société.

La nuit était tombée, on rejoignit les autres, ils étaient tous autour de la tente des parents en train d'écouter leurs discussions. Ils voulaient quitter la forêt, c'était pas possible, pour aller où ? Tous les autres étaient affolé, ils ne voulaient pas partir, ici c'était chez eux.

Plus tard dans la nuit je me retrouva avec Neteyam en regardant les étoiles. J'avais la tête sur son torse et lui avait son bras autour de mes épaules.

Tu vas partir alors? Demande-je.

Non on vas partir, tu ne crois quand même pas qu'on va te laisser ici, tu fait partie de la famille maintenant, et je ne veut pas être séparer de toi de toute façon. Je faisais partie de la famille, ces mots me fit chauds au cœur, pour moi qui avait perdu mes parents relativement jeunes la famille était pour moi quelques chose d'étrangers depuis plusieurs années.

Le lendemain c'était le jour du départ, c'était devenue dangereux de rester ici, il pourrait revenir s'en prendre au village, tout le monde avaient connus seulement la forêt toute leurs vie, c'était leur maison et la miennes aussi.

Après des adieux qu'on espérait tous être des au revoir nos chemin se sont séparer. Nous allons voir les clan de l'eau et demander l'exil auprès d'eux, ma mère m'avait dit qu'elle venait de là bas, elle m'avait raconté comment était la vie la bas, quand j'étais petite ces histoires me faisait rêver, j'allais sur les terres natale de ma mère pour connaître mes racines peut être. Elle me disait qu'une eau turquoise qui s'étendait à perte de vue, du paysage la nuit qui était époustouflant, des villages sur pilotis qui bordaient les gigantesque plages de sable chaud, elle m'avait promis de m'y amener un jour, et ce jour était arrivée mais malheureusement sans elle.

Le chemin fut long jusqu'a à notre destination, c'était magnifique, de l'eau à perte de vue on avait voler pendant plusieurs jours presque, tous le monde étaient triste et fatigué mais se paysage réussi à nous mettre un peu de baume au cœur.