L'amour Lointain Neteyam X Oc

chapitre 17 bagarre

La tension montée et je sentis que ça allait mal tourner.

T'as entendue laissé la tranquille! Cria Neteyam a Aonung.

Un des amis de mon cousin voulait prendre la parole mais il l'empecha d'un geste de la main.

Pourquoi tu reste avec eux, Leyra, tu n'as rien à faire avec eux. Dit Aonung. On sait tous à qu'elle point tu hais les humains. Lança t'il, il était au courant de ma mésaventure avec les humains, ça mère avait dû lui raconter après que je lui en ait parler, il n'avait pas à être au courant de ça. Je ne savais pas quoi lui répondre il avait touché à ma corde sensible.

T'en prends plus à ma famille et laisse Leyra tranquille. Dit Neteyam en nous faisant signe de partir. Cela ne servait à rien de rester ici plus longtemps.

On allait rentrer en évitant une quelconque bagarre, mais Lo'ak entendit l'un d'eux insulté sa famille, il fit volte face et mis une droite à Aonung, il l'avait bien cherché mais ça allait entraîner une bagare. Neteyam rejoignit son frère car il était seul contre trois. Il fit signe à Kiri et à moi de rester là.

Comme si j'allais dire non à une bonne bagarre? Même si c'était "mon cousin" Aonung avait été odieux, il allait s'en prendre une de ma part. Le combat était violent et je le suis pris plusieurs coup de coudes, mais je réussi à quand même avoir le dessus.

Des adultes nous on alors séparer avant qu'on s'étripe, on allait se faire engueuler par Jack car on était censé s'intégrer "sans faire de vagues" et pour l'instant on avait réussi à faire tout le contraire. J'attendais dehors, Jake ne m'avait pas sermonner car je n'était pas son enfants et comme je suis aussi à moitié un Metkayna ce n'était pas vraiment à lui de me dire quoi faire, c'était plutôt à Ronal, espérons qu'elle ne m'appelle pas.
Je vit alors Tsireya venir vers moi.

Ma mère veut te voir. Dit telle en me souriant.

Oh merde, j'espère c'était pas ce que je pensais, en rentrant dans la hutte je m'attendais à me faire sévèrement engueuler mais Ronal m'attendais avec Aonung.

Désolé que mon fils t'ai importuner, il as vraiment mal agis. Dit t'elle en le regardant sévèrement.

Désolé je sais que tu as vécu une expérience horrible avec les humains, pardonne moi. J'aimerais qu'on recommence tout a zéro. Il avait mal agis mais je l'avais presque totalement pardonner suite à ses paroles, il sembalit être sincère et ça arrive à tout le monde de faire des erreurs, après tout on était jeunes, j'espère juste qu'il ne fasse plus de mauvais coup aux Sully.

Je rejoins alors Neteyam qui c'était bien fait reprendre par son père, il n'était pas du tout fière de ses enfants.

Il nous a dit que si on voulait rester ici on ne devait pas faire d'histoire mais on ne pouvait que réagir face leurs insultes. S'indigne Lo'ak.

Et toi qu'est ce qu'il c'est passé ? Me demanda Neteyam.

Personnellement je n'ai même pas étais reprise, Ronald voulait jusque son fils s'excuse. Di-je.

Ta lui a pardonner? Demanda Lo'ak avec mépris.

Oui, après tout c'est mon cousin. Ai-je soufflé, je ne voulais pas prendre parti dans cette histoire.

Ta donc choisi ton camp. Dit Lo'ak énerver. Je comprenais qu'il soit énerver mais il n'avait absolument rien à me reprocher.

Désolé d'essayer d'être en bon termes avec la seule famille qu'il me reste. Di-je en partant énerver.

Attends! Me cria Neteyam en me suivant. C'est malin, encore une fois où tu aurais mieux fait de taire. Lança t'il énerver à son frère.

Il me suivit. Désolé pour mon frère, il ne sait pas que ses paroles blessent. Dit t'il honteux.

C'est pas grave j'ai juste besoin de tranquillité. Di-je.

Tu ne veux pas me voir? Demanda t'il triste.

Si bien sur que je veux te voir, chaque moment passé avec toi est merveilleux mais j'ai besoin d'un moment de calme. Di-je en lui prenant ma main.

Il posa son autre main sur ma joue. Qui a abîmé ton beau visage? Dit t'il.

Occupé toi plutôt du tien, tu es bien amoché. Di-je en rigolant.

Il rigola à son tour et me ramena vers lui en me prenant par les hanches. Bonne nuit ma belle. Dit t'il avant de m'embrasser.

Bonne nuit. Di-je d'une voir remplis d'amour et de tendresse.

On pris alors tout les deux un chemin différent, il rentra à la hutte pendant que j'allais me coucher sur le sable.