Chapitre 4.

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Le lendemain de la soirée.

– Tu n'as pas fais ça ?

Il sourit, fière de lui.

– Quoi donc ?

– Où sommes nous Ilario ?

– Comme je vient de te le dire, chez moi.

– Laisse moi partir. MAINTENANT !

– Ce n'est toujours pas possible.

– Ilario je te jure que que si tu ne me laisse as partir je vais te....

– Avant que tu ne me liste toutes les façons de me tuer il faut que tu sache que je le fais pour notre bien à tout les deux.

Je lève les sourcils face à la débilité qui vient de sortir de sa bouche ?

– Notre bien à tout les deux ? Tu te prend pour qui merde ? Ted Bundy ? Faut consulter.

– Tout de suite les grand mots. Je ne t'ai pas kidnappé non plus.

J'éclate de rire, attend il est vraiment sérieux dans ce qu'il dit.

– Tu es sûr de savoir la définition d'un kidnapping imbécile ? Parce que je crois que droguer une personne, l'emmener dans un endroit inconnue et l'empêcher de sortir ça ressemble comme deux putain de goûtes d'eau à un kidnapping.

– Il est vrai que vue sous cette angle ça peux y ressembler. Mais ce que je dis est vraie, si ça ne tenais qu'a moi je t'aurais déjà laisser partir mais ce n'est pas le cas.

- POURQUOI ALORS ?!

Il soupire en se passant une main sur le visage, désemparé.

– Que je te le dise ou non tu ne me croira pas.

– Très bien alors ne me le dis pas. Dis moi seulement combien de temps tu crois me garder enfermer ?

– Aussi longtemps qu'il le faudra.

– Ne crois pas que je vais rester assise gentillement en attendant que tu " m'autorise " à partir, mais si tu persiste attend toi à retrouver le cadavre de tes employés sur le sol tout les deux jours. Et contrairement à toi, tuer les femmes ne me dérange en rien alors imagine les hommes, encore mieux.

– Que tu le veuilles ou non tu vas rester dans cette maison, t'es menaces n'y changeront absolument rien. Tu veux tuer une personne tout les deux jours ? Fait toi plaisir, j'engagerai des employés tout les jours s'il le faut mais ne compte pas sur moi pour te laisser te faire tuer en sortant de cette maison.

" Il me prend pour une enfant de 5 ans ou juste pour une petite femme en péril ? "

Je démarre au quart de tours et lui fait face en haussant le ton.

– Je suis parfaitement capable de me protéger seule, je n'ai ni besoin ni l'envie que tu me sauve.

– Je le sais très bien mais ça ne m'empêche pas d'essayer, en plus si je te laisse partir, je suis persuader que tu reviendra me tuer dans pas longtemps, alors je préfère t'avoir auprès de moi.

Je sais qu'il à raison, c'est bien ça qui m'énerve, je ne peux pas lui dire le contraire je n'ai aucune envie de le tuer en le trahissant. Je suis peut-être une mercenaire mais je ne suis pas un judas.

Contratto Di MorteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant