𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟖: abus de pouvoir

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𝘦𝘹𝘭𝘶𝘴𝘪𝘷𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘤𝘦 ®




Sur les nerfs, je quittai la salle d'interrogatoire

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Sur les nerfs, je quittai la salle d'interrogatoire. Cette fille a un culot immense que je lui ferai avalé. Avec moi, la grande gueule devient muet, l'audacieux devient craintif et le courageux demeure lâche.

Elle essaye de se donner une petite coquille de femme d'acier, mais je la briserai jusqu'à ce qu'elle finisse par parler. J'la coincerai jusqu'à ce qu'elle me dise ce qu'elle sait sur ce meurtre, car oui, je suis sûr et certain qu'elle en sait quelque chose.

De ce que je sais, elle était la plus proche de Némésis, donc forcément elles se disent des trucs. Même si elle n'est pas la coupable du crime, elle saurait tout de même si Némésis avait un quelconque ennemi qui pourrait être un potentiel suspect. Et le fait qu'elle continue de clamer qu'elle ne parlera pas commence sérieusement à me peter les zgegs.

Avec sa gueule d'audacieuse, j'avais juste envie de l'étrangler sur place. J'étais en plein sérieux, et elle, tout ce qu'elle trouvait à faire c'était de faire de l'ironique.

Rire, mais elle verra. Je lui ferai regretter toutes ses paroles impolies envers moi. Je n'ai laissé, je ne laisse et je ne laisserai personne me manquer de respect.

Elio : Alors, a t-elle parlé ? me demande t-il en me suivant.

Toujours sur les nerfs, je ne daigne de répondre à mon coéquipier. Je marchai toujours en direction de mon bureau.

Elio : Okay. Sourcils froncés, mâchoire contractée, plis sur le front...Voldemort est énervé. Je m'éclipse avant qu'il ne fasse un cataclysme.

Foutez-là dans une cellule.

Elio hoche le chef puis il me laisse. Et j'arrive enfin dans mon bureau en claquant fortement la porte derrière moi.

J'suis en rogne. Normalement, cette Faykat n'est même pas un problème mais j'sais pas pourquoi ça me fout la rage à ce point. J'dirais pas qu'elle est rentrée dans mon ego – jamais elle n'y arrivera – , mais le fait qu'elle ait eu l'audace de me répondre fait bouillir mon sang.

En tant normal, NUL n'ose répondre à Zulfakar Hassani. Quand je parle, on m'obéit et on ne me contredit pas. Mais elle verra...

Je me pose sur ma chaise en portant mes pieds sur la table du bureau. Je prends une pièce avec laquelle je m'amusais à faire glisser entre mes doigts.

Je suis resté dans mon bureau pendant des heures qui ont filé à la vitesse de l'éclair.

Cinq heures sont passées.

Je cale ma tête contre la chaise afin de me calmer un peu. Mes paupières se referment naturellement, me faisant donc entrer dans une légère transe entre l'éveil et le sommeil. Mais ce moment fut de courte durée lorsque mon téléphone se mit à sonner.

𝐓𝐇𝐄 𝐆𝐀𝐌𝐄.®Où les histoires vivent. Découvrez maintenant