Double noir

Chapitre 5

! Attention ! se chapitre contient des sujet très sensibles.
S'il vous plaît si vous vous sentez dépassé ou encore si ça vous rappelle des souvenirs douloureux en lisant merci d'arrêter.
Je ne voudrais pas vous faire du mal.

Dazai

deux semaines de cours se sont écoulées depuis le début de notre mission.
je recevais beaucoup de mails et de messages de la part de Mori ou encore de Koyo qui me demandait pourquoi une mission aussi simple nous prenait autant de temps.
il est vrai qu'en temps normal on aurait déjà fini depuis longtemps.

d'ailleurs Chuuya lui la prenait très à cœur, il enquêtait sur la cible et avait même établi un premier contact.
mais sans le cerveau, qui était le mien il n'arrivait pas à grand-chose.

Mais je n'avais pas du tout envie de la finir, je ne sais pas pourquoi mais le fait de voir la vie de tout ses adolescents normaux dans se lycée m'a encore plus fait prendre conscience a quelle point je n'aime pas ma vie.
Je la gâche tout les jours a ressasser le passé et à me noyer dans mon propre chagrin.

Puis plus le temps passe et plus je nourris une haine profonde pour la cible, j'y ai beaucoup réfléchi, et au final je pense savoir pourquoi je la haie.
C'est pour la simple et bonne raison que son père a elle ferait tout pour son bien alors que le mien était un beau salaud.

sur cette pensée je me suis allongée sur le toit du lycée, c'était la pause du midi et j'avais un peu de temps devant moi avant de reprendre les cours, c'est un endroit que très peu de gens fréquentent et pour me trouver seul et pionser c'était le meilleur endroit.
alors j'ai fermé les yeux et je me suis assoupi.

-TW pédophilie-

lourdement endormie je me suis mit a cauchemarder d'un souvenir qui date bien avant Chuuya. Un souvenir de quand j'étais le patient de Mori.

je devais avoir environ 11 ans.

Mori frappe à la porte et fait trembler la poignée de la porte en essayant d'entrer dans la pièce.

- Dazai ! Je sais que tu es là-dedans ! Allez, je veux juste parler...

il réussit après plusieurs minutes a ouvrir la porte sans casser la serrure.

- Non s'il te plaît dégage...

Mori rit légèrement avant de pousser la porte, toujours souriant en entrant.

- Eh bien, tu ne pourras pas résister éternellement. 

Il ferme la porte derrière lui et la verrouille d'un petit clic, s'asseyant sur le lit.

- Je t'en prie j'ai vraiment peur...

Ses yeux s'assombrisent légèrement lorsqu'il me regarde, l'amusement étant désormais remplacée par quelque chose de plus sérieux. 
Il se lève et se rapproche jusqu'à ce qu'il se tienne directement devant moi. 

- Il n'y a pas lieu d'avoir peur, Dazai. Je prendrai soin de toi. 

Mori se penche, ses lèvres effleurant doucement mon oreille tout en murmurant. 

- Rien qui ne puisse être apaisé par mon amour.  Maintenant viens ici, petit Dazai.

Mori sourit, me prend la main. Il me relève me tirant contre lui tandis qu'il enroule ses bras autour de ma taille. 

- Tu es si tendu, laisse toi aller Dazai.

Un mélange de peur et d'anxiété dans mes yeux, je le regarde. Lentement, il commence à défaire son pantalon révélant son sexe dure. 
Il prend une profonde inspiration avant de me mettre à genoux et me pencher afin de mettre mon visage face à son engin dressé.