Un combat

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NEW YORK ,𝟏𝟗𝐡𝟎𝟎






Enfin arrivée à New York , je suis descendu de l'avion , épuisé par le manque de sommeil. Alors que je quittais l'aéroport, mes yeux se sont levé pour contempler les gratte ciel majestueux et les immenses immeubles qui brillaient dans l'obscurité de la nuit .

Chaque lumière , chaque reflet , semblait me rappeler les souvenir lointain de mon adolescence ici auprès de ma famille , auprès de mes souffrances que j'ai enduré dans ma scolarité avec du recul je me demande comment j'ai pu autant être patiente face à l'harcelement .

Il y avait une quantité énorme de taxi gares à l'entrée de l'aéroport . Je suis montée dans une des voiture et ai demandé au chauffeur de m'emmener à l'adresses de chez moi .

Avant de déménager à Chicago j'avais loué un appartement ici , à New York pas loin du centre-ville .

J'avais toujours une sacré honte de cet argent sal que je gagnais, mais je n'avais pas vraiment d'alternative. Pour dénicher les enfoirees qui avaient tué mon père , il fallait que je m'infiltre dans un gang et dégotter les infos par moi même .

Pas de choix ... pas de pitié .... Juste une quête de vérité .

En arrivant devant cet immeuble chic , je descendis ma valise et fixa l'édifice réalisant que j'étais enfin de retour dans cette ville qui était devenu mon cauchemar sept ans auparavant.

Mes sourcils se froncèrent légèrement en repensant à tout ça , mais je retrouver vite mon air neutre . Refusant que mes pensée m'affaiblisse .

En entrant dans l'immeuble , les couloirs était si propre et silencieux. Comme si aucun drame n'y avait jamais eu lieu c'était très étrange pour moi , moi qui avait l'habitude de vivre avec des toxico et entouré de meurtre .

Soudain j'aperçu le propriétaire rôder dans le couloir , engagent des conversations banales avec quelque voisins .

C'était un vieil homme il arborait son sourir pitoyable, habituel , se pavanant comme un coq . Ses discussions m'agaçai déjà alors que je n'était même pas encore chez moi .

Cela m'a fait bizarre de voir des gens si insouciant et tranquille à ce que j'avais l'habitude de voir .

Je traîner ma valise au sol qui faisait un si fort bruit .

Alors que j'insérai mes clés dans la serrure , je jetai un bref coup d'œil au vieux propriétaire. Il avait l'air tellement choqué de me voir . Après tout je peux le comprendre cette maison était restée inoccupé depuis si longtemps.

Il s'avança tout doucement vers moi , ses yeux grands ouvert d'étonnement et de curiosité. Il semblait incapable de dissimuler son étonnement.

Propriétaire : Ah , vous voilà enfin de retour ! J'imagine que cette maison doit être habitée par les fantômes à force d'être déserte -𝐝𝐢𝐭-𝐢𝐥 𝐥𝐞𝐬 𝐲𝐞𝐮𝐱 𝐞𝐜𝐚𝐫𝐪𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐮𝐧 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐞 𝐝'𝐢𝐫𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐨𝐥𝐞𝐬

Je lui ai adressé un sourrir pour masqué combien ses paroles étaient ridicules mais mon regard perçant trahissait ce que je pensais réellement.

Moi : Merci pour l'accueil, mais je doute que les fantômes puissent payer mon loyer -𝐥𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢-𝐣𝐞 𝐚𝐟𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐭𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥'𝐚𝐭𝐦𝐨𝐬𝐩𝐡𝐞𝐫𝐞

Le propriétaire : Ou étiez vous pendant tout ce temps ? Avez vous fait une retraite dans une grotte ? 𝐃𝐢𝐭-𝐢𝐥 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐮𝐧 𝐬𝐨𝐮𝐫𝐢𝐫 𝐦𝐨𝐪𝐮𝐞𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐞𝐧 𝐦𝐞 𝐫𝐞𝐠𝐫𝐚𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐜𝐮𝐫𝐢𝐨𝐬𝐢𝐭𝐞

LES REINES DU CRIME ( en cours )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant