passer par là

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on c'est donc mis d'accord. quand tous etait prêt je me detache les cheveux et je m'habille un peu plus cool que lorsque je vais travaillé. c'est a dire une chemise blanche un peu plus grande que je noue autour de la taille avec un jean et j'ébouriffe mes cheveux

on monte dans la voiture du sherif et une fois en plein millieux du ranch on s'arrête et david me passe l'un des carton d'approvisionnement qu'on leur donne. 

je monte les marche et mon père frappe a la porte. 

c(est cyrus qui nous ouvre. 

- david? je suis benjamin. comment s'appelle cette jeune demoiselle? 

- malia, mais appeler moi lia. dit-je avec un sourir qui donnait l'impression que j'etait poli et chaleureuse de nature. 

- c'est ma fille, elle est benevole en tant que medecin. je me suis dit que si vous aviez des blesser grave elle pourrait les soigné. ou du moins vous indiqué ce qui est sage de faire. 

il nous fit entré et comme prevu après une fouille on eut le droit de se rapproché des autres personne presente

- nous avons un blesser a l'étage. une petite fille avec ma femme. 

j'aquièsce. 

- je peut aller la voir? 

- mes ami vous escorteron. 

deux gros barraqué m'emmenèrent a l'etage et je vis emily au loin. a coté de spencer. la voir me rassure mais je fit mine de rien. 

a l'etage je vis alors une petite fille qui n'avait rien de très grave. la fameuse femme a coté n'avait que quinze ans tous au plus.  elle n'avait visiblement pas confiance en moi. 

- je m'appelle lia. je suis medecin. je peut regarder vos blessure? 

- elle est tombé quand on s'enfuyez. elle boite depuis. 

en effet je pouvait voir que sa cheville avait du recevoir un sacré coup. 

- je pris donc le matériel que j'avais en ma possession et commença par lui appliqué un baume. 

- ça ressemble a une entorse. si elle est deja tombé au part avant c'est surement que l'os a eut du mal a se solidifier. elle risque de faire des entorse a repetition. ça, en attendant ce sera son meilleur moyen de guérir. je lui met un bandage et rajoute par dessus une hâtelle. 

- je ne pourrais surement par revenir alors il faudra lui appliqué au moins une fois par jour, deux au plus grand besoin une le matin et une le soir et il faudra changer les bandage. j'ai un seule tube. j'espère que ça vous suffira?

je le donne a l'adolescente. 

- vous n'êtes pas de chez nous. vous avez un accent. 

- je suis de washighton. 

chaque region parle differement je suppose que pour eux j'ai un accent alors que pour moi c'est eux qui en on un. 

- mais avant ça j'ai vecu pas mal de temps au texas, et a los angeles aussi. et puis j'ai atteris ici. 

- vous n'avez pas de racine. dit elle avec un jugement prononcé. 

- ça, c'est parce que mon père etait une mauvaise personne.mais j'ai du déménagé pour ma sécurité. se sont de gentil agent, comme ceux que vous avez en bas, qui s'occupe des enfants qui m'on pris en charge et mon trouvé une famille aimante. si je n'ai qu'un seule conseille a vous donné c'est de leur faire confiance, il feront tous pour vous defendre de cette guerre. eux , et vos famille. 

je leur souris et retourne en bas pour voir ou en est david. 

c'est du pur mytho mais j'essaie de faire en sorte que les enfants on confiance en spencer et emily. 

- tous va bien; c'est une petite entorse. dit-je alors. 

- bien, je ne vous retiens pas

- oh, attendez! j

je sort alors le paquet de sucette de mon sac. 

- c'est pour les enfants! j'espère qu'il aime ça. dit-je en donnant le paquet au leader du groupe qui me repugne interieurement. 

- des acte de bonté d'une aussi belle femme c'est rafraichissant. dit il. mais je ne peut accepté. 

- oh... dit-je en baissant la tête d'un air triste. 

- toute fois. si vous me prouver que ce n'est pas une ruse, je ne vois pas de problème a en offrir une a chacun des enfant ici. 

- vous le prouvez? oh! oui bien sur!

j'ouvris le paquet. 

- aller y. prenez en une au hasard! je la mangerais!

il m'en tendis une que je mit en bouche sans attendre. je souris en voyant son aire suspiscieux et il finit par garder les sucette. 

- j'espère avoir de vos nouvelle dans une heure dans ce cas. 

je crois que j'ai etablis le contacte. 

je sort avec david et salut cyrus de loin jusqu'a ce que l'on soit assez loin pour que je ne le vois plus et decroche se sourire de mon visage. 

- quel plaie. 

- tu t'en ai très bien sortit. 

- y'a interet. parce que si je dois me ridiculisé pour rien je demissione. 

- david souris et il m'ebourriffe un peu plus les cheveux. 



Mauvaise graine : nouveau départ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant