Chapitre 77: La promenade

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Changbin: Alors amusez-vous bien tous les deux.


Je suis désolée Gini mais... Je ne peux pas me permettre que Jyuu te considère plus comme sa maman que moi... Il le faut pour le bien du clan.

Je lui faisais un bisous sur la tête après l'avoir déposé sur le lit alors qu'il dormait toujours et une fois changer, je me rendis dans le dojo.

Félix m'y attendait, une épée en bois dans la main.


Félix: Bah enfin!


Il me tendit une autre épée avant de se mettre en position.


Félix: Allez, désarme moi!


Je j'ancrais mes appuis dans le sol avant de me précipiter vers lui, armé en avant.

Il me poussa sur le côté avec son épaule et je para un coût sur le côté avec mon épée avant de sauter en arrière pour lui échapper.

Je sentais mes muscles travailler et mon ancien corps frêle, chétif et fin avait laissé place à des muscles plus dessinés et à une silhouette plus marquée.


Félix: Voilà, n'oublie pas tes points d'ouverture.


Je sentis le bois taper mon épaule et je sautais une nouvelle fois en utilisant mon énergie pour fondre sur lui.

Il me repoussa bien trop facilement avant de me faucher une jambe et je me retrouvais à terre, la tête dans le sable.


Soaha: Et! C'est pas du jeu!


Félix: Quand tu te battras réellement ton adversaire se fichera de savoir si tu sais parer les coups ou pas... Plus vite tu apprendras, mieux tu sauras te défendre.


Soaha: C'est pas une raison pour me faire manger la poussière autant!


Félix: Idéale serait que tu atteigne le plus vite possible la capacité de combat de Hyung... Voir même que tu le dépasse.


Soaha: Comment veux-tu que j'arrive à le surpasser?


Félix: Je ne sais pas... Hyung avait une façon bien à lui de se battre... Mais il était toujours juste.


Soaha: Même. Je n'ai pas sa capacité physique.


Félix: Non... Mais tu as une chose qu'il n'a pas. Ta vitesse.


Soaha: Je vois...


Nous nous entraînons encore pendant quelques heures et une fois qu'il en eu assez de me jeter dans le sable, il m'autorisa enfin à quitter la salle.

Je montais dans ma chambre et une fois laver et une nuisette confortable enfiler, je regardais le ciel et ses épaules, accoudée au balcon.


Wolfgang ||BangchanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant