images et évasion

17 5 0
                                    

Je me lève et regarde par la fenêtre. La pluie a cessé, laissant place à une nuit étoilée. Je te promets de le retrouver et de te venger, je le tuerais, peu importe si je dois faire de la prison ou mourir pour ça.

———————————————————————

———————————————————————

je me suis assise sur le bord de la fenêtre que je viens d'ouvrir, je reste là plusieurs heures a repenser a tout ce qu'il c'est passé, Théo doit m'en vouloir il ne comprend surement pas pourquoi je fait tout ça, mais ça n'a aucune importance, d'après ce que j'ai compris l'autre idiot est parti sans laisser aucune traces, il a surement quelque chose a ce reprocher dans cette histoire, le problème c'est que je n'est pas toutes les informations et le seul qui les a,... c'est Théo. Je décide de me lever, je range les quelques affaires que j'ai dans mes poches, je suis sortie de cette chambre en fermant la porte derrière moi, je redonne les clés à l'entrée de l'hôtel, j'en profite pour prendre une carte de la région. Ça a bien changé en dix ans.

Dessin carte (je la rajoute dès que j'ai fini de la dessiner :) )

donc je me trouve ici et le poste est là à quarante minutes de route vers le nord, l'entrepôt ce trouve a environ 10 minutes du poste si je me souvient bien mais a mon avis je n'aurait pas besoin d'y passer pour récupéré mon fusil ils ont déjà du le trouver, en tout cas Théo a du le trouver, donc il faut que je me rende au poste ou que je réussisse a le convaincre de me le rendre ce qui a mon avis sera compliquer....avant de penser a ça il faudrait déjà que je e rende en ville pour ensuite voir ce que je peut faire.

Point de vue Théo

Assis chez moi dans ma cuisine, je regarde fixement mon café refroidir. Je regarde ailleurs, perdu dans mes pensées. Je prends une profonde inspiration, en sachant que rester ici ne me mènera nulle part. Il est temps que je retourne au poste de police et que j'obtienne des réponses.
Je prends mes clés et quitte ma maison. Pour me changer les idées, je décide de sortir ma moto du garage. Ça fait un bail que je ne l'avais pas pris pour me rendre au poste. Je monte sur ma moto, une Harley-Davidson qui a vu de meilleurs jours, mais qui reste en très bon état. En démarrant, le moteur gronde légèrement avant de se stabiliser. Le vrombissement familier me donne un semblant de réconfort, mais mon esprit reste occupé. Je mets mon casque, je l'attache avec des gestes automatiques, puis j'enclenche la première vitesse et me lance sur la route.
Les rues défilent, mais mon esprit est bloqué sur les événements d'hier. Comment a-t-elle pu s'échapper ? Qu'est-ce qui s'est passé ? Ces questions tournent en boucle dans ma tête.
En quelques minutes, j'arrive au poste de police et je gare ma moto près de l'entrée principale. En entrant, un seul pas a suffi pour que je ressente immédiatement l'atmosphère tendue. Tout le monde est occupé et parle à voix basse.

Je me dirige vers le bureau des enquêtes, où je trouve deux agents en pleine discussion. Leur regard se pose sur moi, et ils comprennent immédiatement la raison de ma présence.

— Salut, Varenne, tu veux savoir ce qui s'est passé ? Me dit-il en me voyant approcher.

— Oui, je veux comprendre comment Elma a réussi à s'échapper. J'aimerais voir les images des caméras piétonnes des deux agents qui étaient dans le camion hier soir.

L'agent acquiesce et m'emmène dans la salle de surveillance. Je me sens moins bien à mesure que nous nous approchons. Il lance les enregistrements et je me concentre sur l'écran, je regarde chaque détails.
Les images commencent par montrer le camion roulant sur une route isolée. La caméra de l'agent à l'intérieur capte Elma, menottée et attachée à un banc, le visage impassible. Les agents semblent détendus, discutant de banalités. Ils décident de faire une pause et garent le camion sur le bas-côté.
L'image se coupe et passe à l'extérieur du camion. Les deux agents sortent, l'un allumant une cigarette, tandis que l'autre se dirige vers l'arrière du véhicule en se rendant compte qu'il n'a plus ces clés. Le premier agent ouvre la porte du compartiment de détention et jette un coup d'œil à l'intérieur. Elle lui assène un coup de pied qui le fait reculer, puis un deuxième qui le fait tomber brutalement sur le sol, il est dans les vapes. Mon estomac se noue en voyant la détermination froide sur son visage. Le second agent, alerté par le bruit, se retourne brusquement. La caméra capte son expression de surprise avant qu'il n'ait le temps de réagir. Elma s'empare de la matraque tombée de l'agent au sol et frappe le second agent à la jambe, le déséquilibrant. Il réussit néanmoins à la faire tomber à genoux à cause d'un coup de tazer. Elle se relève et lui assène un coup derrière la tête pour le déséquilibrer, sans pour autant qu'il perde connaissance. La caméra de l'agent au sol continue de filmer, ce qui me permet de voir chaque mouvement. Mon cœur se serre, partagé entre l'admiration pour son ingéniosité et la peur des conséquences de sa fuite.
Elma regarde une dernière fois vers les agents au sol avant de disparaître dans la forêt dense bordant la route. Les agents, toujours à terre, ne sont pas en état de la poursuivre.
Je soupire en fermant les yeux. Elle est déterminée, ça ne fait aucun doute. Mais comment allons-nous la retrouver ?

— Merci pour les images. Si vous avez quelque chose de nouveau, faites-le-moi savoir.

Je quitte la salle de surveillance, avec ma frustration se mêlant à mon inquiétude. Je passe par la grande salle pour me rendre au coin café où j'y retrouve Mél.

– Salut ! Comment tu vas ?

– Ça pourrait être mieux, je ne vais pas te mentir.

– D'ailleurs, j'ai un truc pour toi. Elle me tend un papier avec des écritures qui ne sont pas les siennes.

– Anaée veut qu'on la rejoigne au café près du supermarché pour discuter au sujet de son indic, il aurait deux, trois trucs à te dire.

– OK, pas de problème, tu m'accompagnes ?

– À ton avis, vis, je ne vais pas te laisser seul alors que t'es au bord d'un burn-out.

– Mais qu'est-ce que tu racontes ? Je ne suis pas en burn out. Dis-je en riant.

– La gueule que tu tire dit le contraire. Me dit-elle en riant de plus belle limite en se pliant en deux.

– T'abuse un peu, non ?

– Alors là, je ne vois pas de quoi tu parles.

On marche côte à côte vers la sortie du poste pour aller au café quand mon téléphone sonne encore une fois. C'est Anaée.

– Allo !

– Salut ! Varenne, je t'attends, j'ai quelques infos pour toi concernant Adrien et Noélie...

———————————————————————

———————————————————————

Salut tout le monde ! Voilà le douzième chapitre... bon, avec un petit peu de retard. Sinon, que pensez-vous de ce qui se passe ? Avez-vous des théories sur ce qui pourrait se passer ensuite ? D'ailleurs, j'ai un chapitre en plus de près. Dites-moi si je le publie maintenant ou si j'attends samedi prochain. (vu que je n'ai pas publié la semaine dernière.)    À vous de me dire ;)   je vous souhaite une bonne fin de journée ou soirée :)

I killed to avenge youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant