Chapitre 13

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PVD Raymond

Bonjour je suis Raymond CODA l'un des 8 maîtres. Il y a 2 ans j'ai été arrêté par la  à CIA dans le plus grand secret, j'ai conclu un marché avec eux pour avoir une réduction de peine. Je m'en souviens encore....

Flash back

Ma mission est rempli je viens de tué ma cible. C'était un chef mulsman assez riche et sympathique malheureusement il fallait lui apprendre que se venté qu'il ne pourrait jamais mourir assassiné est une manière de frustré des gens comme moi alors je l'est montrer que tout pouvait arriver. Il s'appellait Ibrahim je crois . Cette mission étais le plus drôle que je est jamais faite. Je souris rien quand y pensant, il étais tellement désemparé quand dans mon dernier coup de rein éjaculé dans sa femme. Elle me suppliait d'arrêter, pleurant et criant ahhh c'était tellement jouissif. Lorsque j'ai terminé mon activité j'ai installé monsieur je ne peux pas mourir à une chaise et sa femme en face de lui. J'installe confortablement mes outils sur une une table non loin de la chaise.

Raymond : mon premier outil sera.... le.. marteau dis-je en attrapant l'outil
Allez faites moi un beau sourire

Ibrahim : non si il vous plaît dis- t-il d'un ton suppliant

Raymond : allez un petit sourire MR Ibrahim

Ibrahim : je vous en supplie

  Raymond : d'accord alors que dirais vous si votre femme prenait votre place. Je crois en serai ravi. Pas vrai madame m'adressais-je a sa femme qui pleurait déjà

Ibrahim : non non j'accepte je vais le faire
MR Ibrahim me fit un grand sourire, ça c'est ce que j'aime une beau sourire sincère, qui transmet une peur et un désaroi paralysant. Je frappe d'un coup de marteau ses dents toutes blanches. Waouh maintenant il a une belle dentition

Raymond : il a de belle dents vous trouverez pas madame m'adressant à sa femme. Elle ne réagit pas ce qui commence pas à m'énerver. PAS VRAI MADAME ?

Elle finit par répondre positivement. Je dépose le marteau et je pris un tournevis. Je plonge mon regard dans celui de ma cible s'enfonçant le tournevis dans sa jambe. Il cria de douleur ce son qui atteint mes oreilles était magnifique. Il se fit encore meilleur quand je le fit pénétré en profondeur dans sa chair. Je refit le processus un millier de fois. Ces cris de douleurs sont des douces mélodies à mes oreilles. Mais il faut que j'en finisse, je repris mon fidèle marteau et mon tournevis. J'appuie le tournevis sur son crâne comme si c'était une clou et je l'enfonce dans son crâne avec mon marteau. Je range mes outils et je pars de cette maison macabre n'oubliant pas de faire une bisou à la femme du défunt. Il faut pas que j'oublie d'être courtois après tout. Alors que je fuis la police dans les rues désertes du Maroc deux agents m'aperçoive et se mettent à me courir après après une course éfréner il finir par me coincé. Je fus ensuite emporter au QG de la CIA. Il me propose un marché très simple "intègre les 8 maîtres et nous t'offrirons une réduction de peine" Bien évidemment je ne pouvais pas refuser. C'est à partir de ce jour je suis devenu le héros du peuple ce que je détestais par dessus tout

Fin du fasch back

PVD Gadjeel

Ah merde j'ai un de ses mal de tête c'est pas possible. Je clinqua un peu les yeux pour m'habituer à cette lumière que me tuerait les yeux. Alors que j'ouvris complètement les yeux je remarqua j'étais nu et encore plus que je ne suis pas seul. Je souleva la couverture pour découvrir l'identité de ma compagne. Des cheveux bleus.. une petite poitrine y croit pas c'est Levy ou plutôt mistress of the body. Il faut que je la réveille elle ne vas pas rester dans mon lit indéfiniment quand même.

Gadjeel : eh la naine réveille toi dis-je en secouant légèrement son corps

Elle ne réagit pas. Je vas la secouée un peu. Je mordis son lobe d'oreille. Elle gémis sous mon geste ce qui me fit sourire. La naine es perverse en plus

Gadjeel : Levy tu vas te faire violer sursurait- je a son oreille

Elle se réveille d'un bon me menaçant avec une couteau

Gadjeel : t'es enfin réveillé la naine

Levy : qu'est ce que je vais là avec toi et toute nu en plus

Gadjeel : c'est plutôt moi qui devrait te posé la question

Levy : tu m'as violer avoue dit-a-t-elle avec le couteau au plus près de ma gorge

Gadjeel : j'avoue que ça sera tentant vu comment tu gémis mais non. Si je t'avais violer ton petit corps ne serait pas toujours aussi parfait

Levy : merci pour le compliment mais je te te crois toujours pas dis-t-méfiante

Gadjeel : crois moi si tu veux c'est la vérité en plus je me souviens plus des événements de la veille

Elle me regarde un moment et baisse son couteau. T' aurait pas du faire ça la naine. Je lui pris son couteau des mains. J'agrippa sa taille passant délicatement le couteau sur son corps je lui chuchote encore à l'oreille

Gadjeel : je me demande bien qu'elle genre de cris de douleurs peuvent traverser ses jolies petites lèvres

Levy : tu peux toujours rêver si tu veux m'entendre crier.

Gadjeel : ah ouais !?

Levy : ouais. Maintenant lâche moi

Je la lâche

Gadjeel : t'es pas marrante la naine

Levy : je suis pas une naine dis-t-elle légèrement boudeuse

C'est ainsi qu'ils se discutait joyeusement sans connaître les événements de la veille. Il n'avait pas l'envie d'en savoir plus.


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