6. L'aube de ses yeux

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Le réveille s'abattit sur violette comme un mur de pierre, elle ne pouvait ni bouger ni prononcer le moindre mots. Elle aurait voulu rester là dans ce lit qui lui apportait un confort qu'elle ne pouvait ressentir pleinement, sans aucun signe de vie elle regardait l'intérieur de sons lit à baldaquins des heures durant. La fraîcheur des cachot ainsi que sa noirceur au légères lueurs pales ne reflétait que parfaitement l'état de son âme gelé, et même si elle ne disait rien, même si elle évitait de montré à ses amies ce qu'il c'était passé la veille elle laisser sans le vouloir des indices dans son état de végétation soudaine. Elle repassait en boucle dans sa tête les faits qui c'était produits et l'avait marqué à jamais cherchant dans sa mémoire les possibles signes qu'elle aurait pu donner sans le vouloir à ce garçon trop insistant. Mais tout était devenu flou à tel point que même le visage de son agresseur c'était volatilisé, et en y réfléchissant elle ne s'en plainait pas.


Ce n'est que quand elle du sortir de la salle commune qu'elle se rendit compte que l'ignorance qui la toucher à présent était un problème bien plus profond. La peur lui secoué les entrailles des qu'un Serdaigle la regardait, partout elle ne voyait que le danger de se retrouver transformer de nouveau en l'objet d'un désir qu'elle ne toléré pas. Elle se sentier déshabiller du regard par tous ce qu'elle croiser. La comédie qu'elle jouer en marchant droit et en souriant légèrement au aventure que lui racontait chaque membres du groupe, s'estomper dès qu'elle voyait des pans de robes bleuté dans champs de vision. Quelqu'un était t'il au courant de ce qu'il c'était passé ? Avait t'on lancé une rumeur sur elle? Son visage se figea et elle ne pu faire autrement que de regarder un point fixe le reste du trajet vers la grande salle afin d'avoir l'air aussi confiante que d'habitude.

Le déjeuner la rendait malade, même si à présent elle se retrouvait cacher des sorciers à la robe couleur nuit, les souvenirs et la gueule de bois restait accroché à son estomac comme une palourde à son rochet.
Elle croisé les droits pour éloigner la crise d'angoisse en essayant de se changer les idée comme elle le pouvait se perdant entre les lignes d'un livre qu'elle avait emprunté à opale. Cette dernière fini par comme d'habitude dire ce que tous n'osez demander.

-Ça vas vivi depuis qu'on t'as perdu hier tu as l'air dévasté ?

-ne t'inquiète pas pal j'ai juste la gueule de bois.

-mais enfin, c'est pas pour te brusquer mais tu n'as jamais été comme ça après une soirée.
Même les deux Poufsouffle qui les avaient rejoint écoutaient patiemment la conversation. Tu sais... Continua la cadette, tu n'est pas obligé de nous raconter, ou de nous donner des détails, juste si on peut faire quelque chose pour t'aider ou si tu as besoin qu'on te change les idées on sera toujours là.

-pal à raison Vivi on ne veux pas te forcer mais ont aimerait juste que tu ne fasses pas semblant d'aller bien, on te connais. Fini Livia.

Vivi leurs accorda un hochement de tête timide et repris faussement sa lecture. Alors comme ça on ne pouvaient pas ignorer son état, elle qui pensait réussir à faire semblant ne savait pas comment réagir, certes d'un côté la réaction de ses amis lui faisait chaud au cœur mais d'un autre côté elle redoutait que quelqu'un d'autre, sûrement celui dont elle avait oublié le visage, s'en rende compte et l'utilise contre elle.

Elle ne savait pas pourquoi elle en avait temps besoin mais il fallait qu'elle parle à Rogue, toute la matinée elle c'était demander comment faire pour paraître inébranlables et, l'attitude de son enseignant l'inspirait à présent. Après avoir dit à Lise qu'elle voulait s'entretenir avec le corbeau elles avaient toutes les deux pris le chemin de la salle des professeurs. Elles marchaient à présent dans le dédale de couloirs et d'escaliers que représentait l'école, sans vraiment se parler. Lise se contentait de faire des blagues sur le veritaserum afin de détendre la brune qui sursauter au moindre toucher. Enfin arriver devant la porte en bois, les deux sorcières si figèrent, ne savant pas trop comment faire elles attendirent en se regardant perplexes. au bout de quelques minutes Mr Lupin ouvrit la porte se retrouvent devant elles.

Le professeur et le serpentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant