Le professeur et le serpent

17. Le Pacte de Minuit

Violette avait entendu du bruit dans un recoins de la salle commune des Serpentard, il était deux heurs du matin et la raison de sa présence était une faim intenable qui la rongeait. Le sang chaud elle avança peut à peu en évitant de s'approcher trop près de la source des reniflement. Quand avachit contre le mur, elle vit Céleste les bras autour de ses genoux. 

-Qu'es ce qui ne vas pas cécé! La jeune fille s'était accroupie devant son amie en lui posant une mains amicale sur l'épaule. 

-C'est Rogue, il m'as confisquer ma baguette, je j'était avec un garçon, je sais plus trop qui on s'en fous, on se promener quand il nous à surpris. Il à pris nos baguettes et nous à renvoyez dans nos dortoir, mais demain j'ai une évaluation en sortilège et je sais c'est nul de pleurer pour ça mais si j'ai toujours pas la moyenne ma mère vas venir me chercher.

-ne t'en fais pas on vas la récupérer. Lança une voix faible derrière les blonde, c'était Lise qui ramenait des petits gâteaux.

-Oui on y vas!

-Mais vous êtes malade et si Rogue s'en aperçois?

-T'inquiète je prendrais l'heur de colle pour vous, après tout on parle de rogue.

Les trois filles établissent alors un plan avant de réveiller opale parmi les cinquièmes années, en lui demandant de faire le gaie devant la chambre de leurs directeur de maison. La cadette prenait son rôle très à cœur, elle sortie sa cape d'invisibilité qui commençait certes à êtres usé mais qui pouvait toujours servir et se posta pile devant la porte ou sur  l'écriteau de métal était écrit  le nom Severus. Rogue était inscrit. Les trois ainées se faufilèrent dans les couloir en rasant les murs, il fallait faire le moins de bruit possible et surveiller tous les angles morts de peur que quelqu'un ou pire Rusard ne les surprennent car oui il n'avait rien d'humain non il ressemblait plus à un radars. 

-Vous pensez vraiment qu'il ne l'a pas garder avec lui? chuchota Céleste dans un tremblement.

-Si c'est le cas j'irai moi même me glisser dans son lit pour te la rapporter cécé. admis Lise très sérieusement. 

Peut à peut elles traversèrent le château jusqu'à la salle de potion,  que Céleste ouvris avec 'alhomora' et entrèrent le plus prudemment du monde. Pendant que Lise fouiller la classe violette explorer le bureau lugubres envahit d'odeur d'ingrédient. 

-Je l'es! souffla énergiquement la blonde qui tenait entre ses doigts deux baguettes dont une en cerisier et crin de licorne ne pouvait appartenir qu'à la vaironne. les trois sautèrent de joie quelques instant avant d'entendre des pas dans le couloirs. Elles se regardèrent terroriser et foncèrent se cacher chacune de son coter. Quelqu'un rentra dans la salle, heureusement ce n'était pas Rusard car le concierge était facilement reconnaissable pas son pas claudiquent, hors cette personne ne faisait que peut de bruit.  Il s'avança au centre et se racla la gorge. Lupin, elle ne savait comment mais le blonde savait que c'était lui, peut êtres est-ce l'instinct, ou bien la folie.  La jeune fille sortie derrière la porte, il s'agissait bien de lui il l'a regarder amuser de la situation. 

-Je peux savoir ce que vous faites là? sa voix basse se voulait discrète.

-Vous me vouvoyez maintenant Mr. Elle essayer temps bien que mal de cacher ses amies, cependant c'était peine perdu car le loup avait des sens beaucoup plus aiguiser qu'elle. 

-Bien sûr que non, je vous parle à toute les trois. On aurait cru que c'était le meilleur moment de sa vie, comme si il revivait ses aventures passer à travers les yeux qu'il craigné autrefois. Les deux autres filles sortirent aussi de leurs cachettes et se rendirent en avouant la raison leurs présences, qui intéressa beaucoup le brun grisonnant. Il décida de leurs laisser la baguette et de les raccompagner jusqu'à leurs salle commune. Le long du chemin Violette remercia la sombreur des lieu, car elle était devenue rouge en marchant à coter du loup le frôlant par moment, il le comprenait mais ne relevait pas et elle lui en était reconnaissante. Au détour d'un couloir ils tombèrent sur le corbeau, dégouter de sa découverte.