10.L'Étudiante et le Loup

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Sous ses cheveux pales Violette avait déjà eu du mal à s'endormir, repensant à toutes ses théories qu'elle avait sur son professeur, qui pourtant lui paraissait plausible, grâce à l'action du corbeau et à tous ce qu'elle avait lu par la suite.
Il n' était cependant que six heures du matin quand un sursaut réveilla la jeune fille lui glaçant le sang, par réflex elle s'assit et empoigna une peluche afin d'exercer une pression régulière.
Une crise s'empara à nouveau d'elle, ça n'était pas arrivé depuis la rentrée et elle pensait s'en être débarrassé mais, cette sensation comme si son dos se mit à brûler l'emprisonné, Elle tenta de se calmer, en soufflant doucement, et en essayant le plus de se concentrer sur des activités extérieures. Elle ouvra son livre et repris là où elle c'était arrêté
"Au bout du couloir il ne pouvait se retenir, son souffle se saccada, il n'arrivait pas à respirer correctement comme si ses poumons explosèrent, tendis que son corp sombra contre le sol froid, il sentit cette douleur aiguë au bout des doigts comme dans la mâchoire l'indiquant que ses ongles et ses dents poussèrent lui arrachant un premier cris de douleur. Son regard d'ordinaire sombre se recouvra entièrement de jaune, partout où il regardait des millions d'informations en plus apparaissait. Déjà que sa capacité à sentir ce qu'il l'entourer le perturbé ses sens lui faisait tourner la tête à une vitesse effroyable,  il n'en pouvait plus bientôt son corps fu parcourus de spasmes lui déchirant chaque partie de son épiderme.
Il avait faim si faim qu'il ne pu retenir sa folie plus longtemps il aurait pu tuer quiconque sur son chemin "

Violette comprenait le personnage, ses crises d'angoisse lui paraissait semblable à ce que le dit loup-garou ressentais. Mais alors si Lupin se trouvait réellement être mi loup il pourrait peut-être la comprendre. Ses envie de le voir grandissaient tendis que sa crise lui tournait toujours là tête. De légères vagues la parcourait.
Ne pouvait t'elle pas en profiter pour l'apercevoir et  par la même occasion vérifiée si un véritable loup-garou se trouvait dans ce château.

La blonde pris tout son courage et en dépit de ses vertiges se leva,  elle se mouvais comme elle pouvait en s'accrochant au mur de toute façon plus elle laisserais de marque invisible, plus elle s'assurerai que Lupin n'était pas banal. Mais la panique l'envahissait tellement qu'elle reperdit son air à plusieurs reprise avant de s'élever toujours plus haut dans les escaliers, arriver au troisième étage ses jambes la lâchèrent, elle avait mal, tellement peur, et si froid, mais elle continua à ramper déterminée à le voir, arriver à quelques mètres de son but elle se retourna sur le dos et parla de sa voix assécher en croisant les doigts pour que ça marche.

-professeur lupin aider moi, réveiller vous professeur, je sais que vous avez pas dormi et moi non plus, venez me chercher je fais une crise, s'il vous plaît dite moi que vous m'entendez. Lupin, lupin,lupin,lu...
Les tremblements pris de court la jeune fille qui, comme l'homme dans son roman convulser contre la pierre elle tenta tout de même de faire du bruit, juste assez pour qu'on la retrouve, mais ses yeux roulèrent et elle perdit conscience.

Seulement des fragments, des fragments de bruits, des pas précipiter, quelqu'un qui l'appelle, une chaleur autour d'elle, et enfin un cocon. Pendant quelques minutes elle se sentit bercer avant de tomber de nouveaux dans les pommes.

Elle ouvrit enfin les yeux, la luminosité de la salle était si faible qu'elle se crû d'abord être toujours dans les cachot des Serpentard jusqu'à ce que quelqu'un s'adresse à elle.

-Tu vas bien? Lupin était assis à côté d'elle une tasse à la main semi endormi. -je savais pas où t'amener tu m'as dit ne pas vouloir aller à l'infirmerie je suis désolée, en observant autour d'elle violette se rendit compte qu'elle ne connaissait pas cet endroit, il y avait des étagères pleines de livre de chaque côté, le lit où elle se trouvait n'était pas comme les autres qu'elle avait testé, car en plus d'être plus grand il se trouvait avoir des draps dépareillés.

Le professeur et le serpentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant