Pov de Gabriel
*1ans et demi en arrière (2023)*
Aujourd'hui j'ai un débat important sur une chaîne télé très diffusée, je stresse légèrement car je n'est pas fait énormément de débats contrairement a mon adversaire, Jordan Bardella. C'est un membre du Rn et un adversaire redoutable c'est donc pour sa que sa fait des semaines que je me prépare pour sa
??: Eh oh Gabriel vous êtes là ?
Gabriel: Ah euh oui
J'étais tellement préoccupé par ce futur débat que j'en avais oublié le président
Emmanuel: Vous allez bien Gabriel ?
Gabriel: Bien sûr, je suis juste légèrement préoccupé par ce débat
Emmanuel: Ne le soyez pas !
Il dit sa comme si c'était facile
Emmanuel: Je vous assure que ça va allez, vous n'êtes pas nul en débats et vous le savez ! En plus sa fait des semaines que vous bossez sur se que vous allez dire
Gabriel: Je sais, dans tout les cas je ne peux plus revenir en arrière, je vais devoir partir dans 5 minutes mon chauffeur sera bientôt là
Emmanuel: Allez y, vous ne me décevrez pas Gabriel j'ai confiance en vous !
Il me met encore plus la pression en me disant sa, mais bon je dois faire face à la peur et la vaincre. Je pris ma veste et descendis tout les escaliers de l'Élysée mon chauffeur était déjà là, se qui me rappela encore une fois mon incompétence au débat et qui me fit monter une boule de stresse dans le ventre
Gabriel: Bonjour monsieur
C: Bonjour ! Pouvez vous m'indiquez l'adresse s'il vous plaît ?
Je lui épela l'adresse qu'il tapa sur son tableau de bord, 25 minutes de route. Pour calmer mon stress je fouilla dans mon sac, et après quelques secondes de recherche je trouva mes cachets pour le stresse avec ma bouteille d'eau, j'en avala deux d'un coup
*Une fois arrivé*
Je descend de la voiture pour rentrer dans ma loge, quand je croisa le regard de quelqu'un, je m'aperçus après 2 secondes d'échange visuel que c'était mon adversaire, Jordan Bardella. Il me fit un regard bizarre mis douteux mis confiant, je pense qu'il se cache sous ses airs de grand baraqué sur de lui mais qu'au fond il panique autant que moi à l'idée de ce débat. Bref je ne dois pas perdre de temps, je rentre dans ma loge relisant tout mon discours en espérant qu'il reste sur le thème de l'immigration et qu'il ne déborde pas sur d'autre sujet que je n'est pas noté, je suis vraiment nul en improvisation
??: Monsieur Attal, vous pouvez aller sur le plateau
Gabriel: Oui j'arrive dans 5 minutes
Pendant ces 5 minutes je tourne en rond, réfléchissant sur quels sujets il pourrait déborder. Mais j'ai pas le temps de plus réfléchir je dois monter sur le plateau, une fois devant cette porte dans la quelle tout aller se passer, cette boule au niveau de mon ventre fit encore une fois son apparition. Je monta sur le plateau regardant mes pieds, écartant la chaise de la table tout en m'installant, j'avais l'impression de retourner à l'école comme lorsque je devais passer a l'orale, cette fois-ci c'est plus important, peut-être une ou deux minutes de réflexion je me décida à lever ma tête après avoir senti la drôle impression qu'on m'observait et effectivement, c'était mon adversaire il me fixait comme pour savoir à quoi je pensais. Sa me déstabilisa et je ne pus garder ce contact visuel, je me replongea dans mes notes encore plus stressé qu'avant
??: Bonsoir monsieur Attal
Je leva la tête m'interrogeant sur qui aurait pu m'interrompre dans ma relecture et je vis Jordan me tendant sa main avec un drôle de sourire encore une fois à la fois Timide et Confiant
Gabriel: Euh, bonsoir enchanté
Nous nous serrions la main lorsque que la présentatrice nous interrompit
J: Messieurs, l'émission va commencer pouvez vous vous assoir s'il vous plaît
Jordan: Oui bien sûr
Jordan lâcha ma main pour allez se rassoir en face de moi toujours en me fixant avec ce regard déstabilisant
J: Sa commence dans 3..2..1 c'est parti !
La Journaliste présenta l'émission, pendant que moi et Jordan nous échangions des regards bizarre, je ne sais pas si je l'interprète mal mais pour moi se n'était pas des regards en rapport avec le débat. C'était d'autres regards je ne sais pas comment l'expliquer mais chacun des ces regards me donnaient des frissons et me donnaient chaud , j'avais comme une envie de lui sauter dessus pour l'embrasser, évidemment je n'allais pas le faire et je ne savais même pas pourquoi cette idée me venait en tête
Jordan: Monsieur Attal, vous êtes vous perdu dans vos pensées, désespéré de ne pas avoir de réponses à mes questions si importantes pour les français ?
Il me disait sa avec un léger sourire qui m'agaçait autant qu'il me charmait, je n'avais rien à lui répondre alors je fis mon arme ultime, mon sourire en coin, sa m'évite parfois de devoir chercher trop longtemps une réponse et donc de perdre en crédibilité, sa a bien marché, il semblait très déstabilisé après sa
Une fois le débat fini, je lui serra la main lui disant qu'il avait bien débattu, je me retourna immédiatement sentant mes joues devenir rouge écarlate après cet excès de confiance. Mais après à peine 2 pas je sentis quelque chose me tirer le poignet
Jordan: Euh, vous avez bien débattu aussi monsieur Attal, j'ai hâte d'un prochain débat avec vous
Gabriel: Moi aussi monsieur, la prochaine fois je ferais tomber votre masque, vous n'êtes pas si confiant que sa, je l'es remarqué plusieurs fois et je compte bien le montrer à ceux qui ne l'ont pas remarqué
Jordan: Quant à moi j'arriverai à savoir se qui se cache derrière cet arrogant sourire en coin
Il y'avait une énorme tension entre lui et moi, nos mains se serra ensemble et nos regard ne se quittaient pas, après de longues secondes ou je ne voyait que lui, je lui fis une dernière fois ce fameux sourire et je remonta dans ma voiture garée sur le parking arrière, qui me conduisit à Matignon
Lorsque je me coucha je ne pouvais m'empêcher de repenser à ce débat et à cette tension entre nous..
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C'était bien drôle de s'imaginer les scènes
Bref, j'espère que sa vous a pluu 🫶🏻🫶🏻
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Mon protégé // Jordan Bardella x Gabriel Attal
FanfictionBonjour bonsoir fanFICTION sur le couple fav du moment je sais pas se que sa va donner honnêtement mais on verra bien Ceci est de la FICTION ce n'est pas RÉEL, c'est aussi sur le ton de l'HUMOUR je ne veux pas des gens qui me disent « mais ils sont...